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Mis à jour: 4 juin 2025
À dix heures du soir, M. le comte de Bulow s'était fait annoncer chez ma femme, sans doute pour être présent lorsque la réponse du gouvernement westphalien me serait apportée. Je l'ai reçue. J'ai conduit M. de Bulow dans mon cabinet, et je l'ai lue devant et avec lui. M. de Bulow m'a dit qu'il ne doutait pas que Sa Majesté Impériale y verrait la bonne volonté du Roi; que faire quelque chose au-del
Les Anglais, instruits de l'arrivée de Bulow, reprirent l'offensive et cherchèrent
L'armée dite du nord, composée de quatre divisions russes, sous les ordres des généraux Witzingerode, Woronzoff et Strogonow, et d'une division prussienne sous les ordres du général Bulow, remplaçait,
Bülow en effet n'avait pas bougé. Son avant-garde était très faible, et ne pouvait rien. Il devait attendre le gros du corps d'armée, et il avait l'ordre de se concentrer avant d'entrer en ligne; mais
M. Bulow était employé dans l'administration prussienne
»J'ai vu MM. de Bülow et de Wessenberg, relativement
Par suite de cette maladresse de la police dans l'affaire Bulow, Bercagny fut remplacé dans ses fonctions par le général Bongars, chef de la gendarmerie, le commissaire général Schlach fut expulsé du royaume, et une scission eut lieu dans le cabinet.
Par la dispersion de ses forces, l'ennemi avait donné beau jeu au duc de Reggio; mais celui-ci n'en sut pas profiter. Sa marche incertaine en se portant en avant, ses directions variées, donnèrent au général Bulow le moyen de réparer toutes ses fautes et de combattre
Les négociants hollandais m'ont dit que le succès de cette opération avait éprouvé ici beaucoup de difficultés. On prétend que la jalousie contre M. de Bulow en a été la cause; que les préventions du roi contre ce ministre viennent de M. de Furstenstein et de M. Bercagny, et que le projet de placer des Français
M. Bercagny m'a parlé longtemps contre M. de Bulow et ne m'a pas caché qu'il avait accusé ce ministre auprès du roi lui-même. Voici les principaux, ou plutôt les seuls griefs que M. Bercagny ait articulés. M. Beugnot était dans l'usage de laisser dans les caisses départementales tous les fonds nécessaires aux dépenses locales. Il entretenait souvent S. M. de la pénurie du trésor et de la nécessité de ménager les ressources de la Westphalie. M. de Bulow n'eut rien de plus pressé que de se faire valoir par l'abondance avec laquelle il savait faire affluer l'argent au trésor; il y fit venir celui réservé par M. Beugnot; il en fit l'étalage aux yeux de S. M. En attendant, un grand nombre d'employés dans les départements ne furent pas payés. Les juges de paix, les officiers de police furent laissés dans la misère. Les plaintes arrivèrent aussi de tous côtés; il fallut
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