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Mis à jour: 17 juin 2025
En se dirigeant dans les rues tumultueuses de Brest, pour arriver chez le maître de pension qu'on avait indiqué
Aussi, en parlant de lui dans nos conversations du soir, nous disions toujours: «Quand le petit goéland sera arrivé.» Jamais nous ne l'appelions d'une autre manière. Brest, 15 juin 1878. Nous habitons pour aujourd'hui un logis de hasard, rue de Siam,
Le 11. J'avais des lettres de personnes fort recommandables pour d'autres personnes aussi très recommandables de Brest,
Deux autres portions de l'armée d'invasion n'étaient pas prêtes: l'escadre de Brest, destinée
Il baissa la voix. Il est très-intelligent d'avoir organisé une maison de bonne apparence où caissier, comptables, employés, garçons de bureau sont tous d'anciens forçats plus ou moins évadés ou en rupture de ban.... On est bien tranquille, on gère les affaires de l'association générale, on fait fructifier les capitaux qui affluent de Toulon, de Rochefort, de Brest et autres lieux...
«Dès le lendemain, je quittai le couvent, et le soir même nous prenions le train de Brest. «Il y a non loin de notre premier port de guerre, sur la côte ouest, un petit manoir du quinzième siècle, qui est habité depuis de longues années par une vieille tante de Maxime, la seule parente qui lui reste. «Elle a soixante-quinze ans: on ne lui en donnerait pas soixante.
Dénombrement de notre petite armée: Infanterie de soldats nobles et d'officiers; quatre compagnies de déserteurs, habillés des différents uniformes des régiments dont ils provenaient; une compagnie d'artillerie; quelques officiers du génie, avec quelques canons, obusiers et mortiers de divers calibres (l'artillerie et le génie, qui embrassèrent presque en entier la cause de la Révolution, en firent le succès au dehors). Une très-belle cavalerie de carabiniers allemands, de mousquetaires sous les ordres du vieux comte de Montmorin, d'officiers de la marine de Brest, de Rochefort et de Toulon, appuyait notre infanterie. L'émigration générale de ces derniers officiers replongea la France maritime dans cette faiblesse dont Louis XVI l'avait retirée. Jamais, depuis Duquesne et Tourville, nos escadres ne s'étaient montrées avec plus {p.057} de gloire. Mes camarades étaient dans la joie: moi j'avais les larmes aux yeux quand je voyais passer ces dragons de l'Océan, qui ne conduisaient plus les vaisseaux avec lesquels ils humilièrent les Anglais et délivrèrent l'Amérique. Au lieu d'aller chercher des continents nouveaux pour les léguer
«Encore le marchepied cassé!» dit le maître de quart, en frappant du pied avec rage. «Du filin pourri, qu'ils nous ont donné dans ce sale port de Brest! Le grand Kerboul,
Et qu'as-tu donc fait depuis ton départ de Brest et pendant les six années que tu as passées loin de nous?
L'escadre française, forte de vingt-deux vaisseaux de guerre et de dix-huit frégates, et partie de Brest dans les premiers jours d'avril, est arrivée au détroit, a présenté le combat aux Anglais, qui n'étaient que dix-huit, et est entrée
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