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Mis à jour: 11 juin 2025
On reconnut aussi, du moins implicitement, que le retour des Bourbons étant inévitable, il valait mieux les rappeler volontairement sous de bonnes conditions, que de laisser aux alliés le soin de les rétablir. Mais on ne crut pas devoir s'expliquer sur ce point délicat; et l'on se renferma dans la solution laconique des questions proposées par la commission.
Le 25 mars, le duc d'Otrante eut avec le baron Pasquier, dans son jardin, un entretien mystérieux. Il lui dit audacieusement que l'Empereur était plus fou que jamais, et que son affaire serait faite avant quatre mois. Il ne demandait pas mieux que les Bourbons revinssent, mais il fallait que les affaires fussent arrangées «un peu moins bêtement que l'année précédente». Des garanties bonnes et solides étaient nécessaires. Il invita donc Pasquier
Ces généraux, qui auraient dû se considérer comme les sauvegardes de l'honneur de l'ancienne armée et prouver aux Bourbons, de toutes les manières, la confiance que méritaient ses chefs, spéculèrent sur l'ignorance de M. le duc d'Angoulême.
» * a, dit-on, été exilé de Paris, pour avoir dit que les Bourbons étaient des vieilles femmes. Ceux-ci auraient pu se contenter de lui rendre le compliment...................................................
Dans son étonnement il disait: «Comme les Bourbons m'ont arrangé la France en quelques mois! il me faudra des années pour la refaire.» Ce n'était pas l'oeuvre de la légitimité que le conquérant voyait, c'était l'oeuvre de la Charte; il avait laissé la France muette et prosternée, il la trouvait debout et parlante: dans la naïveté de son esprit absolu, il prenait la liberté pour le désordre.
C'est nous, nous autres ouvriers, qui canardons les beaux régiments de Raguse, et les Suisses des Bourbons!... ajouta le portefaix qui, dans ses sabots, empêtrait un sabre de gendarme. Mazette! on en causera, des dimanches,
Je n'aime pas les Bourbons, mais je ne veux la mort de personne. C'est que, voyez-vous, je suis reine aussi, et je ne puis tolérer les humiliations dont on nous abreuve!» Après ces mots elle se retira avec la même fougue qu'elle avait montrée en entrant.
Plus bas, conspiraient autrement qu'en paroles, les intrigants au service des Bourbons, et plus bas encore, mais plus dangereusement, les agents de Georges, les mains pleines de l'argent venu d'Angleterre. Georges, depuis son retour de Londres, était dans le Morbihan, se cachant
Le baron de Roll, n'obtenant rien de plus, demanda au prince de remettre au lendemain la suite de l'entretien. Il espérait que la réflexion modifierait l'attitude du duc d'Orléans qu'il croyait sous l'influence de conseillers hostiles aux Bourbons, ce qui d'ailleurs était inexact. En ces circonstances, le prince ne prenait conseil que de lui-même. La discussion recommença donc le lendemain, mais elle n'eut pas une autre issue que la veille. Le prince persistait dans ses dires. Il était résolu
Lors du second retour des Bourbons, accusé d'intriguer contre le gouvernement, il fut arrêté le 1er novembre 1815, incarcéré
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