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Mis à jour: 31 mai 2025
Cependant, au déplaisir que le don lui faisait, la maison de Bourbon aurait dû sentir qu'il ne venait pas d'elle. Elle fut hargneuse au dix-neuvième siècle. Elle fit mauvaise mine
Quicherat, loc. cit., pièces justificat., XIII, pp. 226 et suiv. Invent. des Arch. nation., Maison de Bourbon, t. II, p. 275.
Loys filz du duc de bourbon Evesque du liege tant digne Conte du loz duc de buillon Du royal sang prince tant bon Qui de parens eut une mine Accident qui la vie mine L'a n'a gueres mort & tué Au fort de sa meilleur cité
À lui demandé ses nom, prénoms, âge et lieu de naissance. A répondu se nommer Louis-Antoine-Henri de Bourbon, duc d'Enghien, né le 2 août 1772
N'êtes-vous pas le chevalier favori, le volontaire compagnon du vaillant Bourbon, jadis connétable de France, et qui bientôt sera maître d'une ville qui, sous les empereurs, était la maîtresse du monde ancien? Comment, monde ancien? Est-ce qu'il y en a de nouveaux? C
Les gens de bien, lui dit cet homme, pourroient-ils avoir de la joie après qu'on vient de perdre deux princes du sang»? Malherbe lui repartit: «Monsieur, monsieur, cela ne doit point vous affliger: ne vous souciez que de bien servir, vous ne manquerez jamais de maître.» Henri de Bourbon, père du grand Condé.
Un obstacle sérieux lui vint de la petitesse de son atelier. S'il avait eu seulement l'ancien comble du quai de Bourbon, ou bien même la vaste salle
Si le premier, Antoine de Bourbon, se dérobait, ou, comme on disait par euphémisme, «en son absence», son frère le prince de Condé pouvait, selon la tradition et la loi écrite, réclamer la charge de suprême conseil du Roi . [Note 214: Calvin
Cependant, après avoir jeté le froc aux orties, le jeune Guillaume s'était engagé dans un régiment au service d'Anne de France, dame de Beaujeu, alors en hostilités avec les ducs d'Orléans, de Bourbon et divers grands seigneurs qui lui disputaient la régence de Charles VIII.
En réalité, il n'était qu'un souverain qui, dès ce moment, se déclarât avec spontanéité contre la Révolution et pour la maison de Bourbon. C'était le roi de Suède, Gustave III. Son successeur devait suivre son exemple et son amitié devenir une des rares joies de l'exil de Louis XVIII. Mais la Suède était petite et faible. Son dévouement, quel qu'il fût, ne pouvait tenir lieu de secours effectifs. C'était presque de l'héroïsme de la part de son souverain d'oser, au mois d'octobre 1791, rompre les relations diplomatiques avec le gouvernement français en faisant écrire par son ministre des affaires étrangères au chevalier de Gaussin, représentant de la France
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