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Mis à jour: 19 juin 2025
2° Poésies historiques sur Charles VIII, qui se composent de la prophétie du roi Charles VIII par Guilloche, et d'une satyre intitulée: L'aisnée fille de Fortune, ou louange d'Anne de Beaujeu.
L'une des causes qui, en effet, rendirent le plus désastreuse l'intervention politique des reines, c'est que, nées dans des cours étrangères, elles apportaient généralement sur le trône de France l'amour de leur pays natal. Une contemporaine de Madame de Beaujeu en donna le triste exemple. C'est en mariant Charles VIII
Dans l'histoire, de notre pays comme dans les annales de l'antiquité, nous avons pu constater que le passage de la femme dans la vie politique d'un peuple, a été le plus souvent désastreux. L'histoire légendaire d'Hérodote nous parle bien d'une sage et habile reine de Carie, Artémise, qui fut aussi prudente dans le conseil que vaillante dans le combat; mais, pour une Artémise, que d'Athalie, d'Olympias, de Livie, d'Agrippine! Quand ces femmes antiques possédaient le pouvoir, c'était pour elles le moyen de faire triompher leurs passions ou leurs ambitions effrénées. Dans notre France chrétienne, ce n'est guère que par la foi patriotique et religieuse, par la charité sociale, que les femmes ont eu une influence heureuse sur les destinées de notre pays. Mais ont-elles exercé le pouvoir politique, cela n'a été que bien rarement pour le bonheur de la France. En présence de grandes exceptions, telles que sainte Bathilde, Blanche de Castille, Anne de Beaujeu, voici Frédégonde, voici Brunehaut dans la seconde partie de sa vie; voici Catherine de Médicis, Marie de Médicis. Voici encore les femmes politiques de la Révolution, c'est-
Se me dictes: Las! je ne scay combien Vostre vouloir durera longuement; Je vous respons, sans aucun changement, Qu'en ce propos me tendray, et me tien. Quant, etc. pour Monseigneur de Beaujeu. Puisqu'estes de la contrarie D'Amours, comme monstrent voz yeulx, Vous y trouvez vous pis, ou mieulx? Qu'en dictes vous de telle vie? Souffler vous y fault l'alquemie, Ainsy que font jeunes et vieulx.
La régente Anne de Beaujeu, soeur et tutrice du jeune roi Charles VIII, connaissait dès longtemps La Trémouille, et confiante en sa loyauté comme en ses talents, elle lui donna le commandement des troupes royales qui défirent
Ces prétentions consistaient en ce que le comte de Bretagne avait épousé Blanche de Champagne, fille aînée du comte Thibaut, dernier mort, qui l'avait eue d'Agnès de Beaujeu, sa première femme, dont il était veuf quand il épousa Marguerite de Bourbon, mère du jeune roi de Navarre; de sorte que Blanche demandait
Immédiatement après l'arrivée du roi, les princesses de France et les dames de leur suite entrèrent dans l'appartement. L'aînée, qui dans la suite épousa Pierre de Bourbon, et qui est connue dans l'histoire de France sous le nom de la dame de Beaujeu, n'a que fort peu de rapport avec notre histoire.
On avait attaché aux maisons de la tête du pont trois drapels représentant le roi, le dauphin et Marguerite de Flandre, et six petits drapelets où étaient pourtraicts le duc d'Autriche, le cardinal de Bourbon, et M. de Beaujeu, et madame Jeanne de France, et M. le bâtard de Bourbon, et je ne sais qui encore; le tout éclairé de torches. La cohue admirait.
La France, en voyant débarquer sur ses bords les émigrans canadiens, fut touchée de leur dévoûment, et ce fut pour elle un titre suffisant pour les prendre sous sa protection. Elle les favorisa, les accueillit dans les administrations, dans la marine et dans les armées, et elle récompensa leur zèle et leur courage par de hauts grades. Ainsi plusieurs furent nommés au gouvernement de ses possessions lointaines. M. de Repentigny, fait marquis et plus tard brigadier des armées, fut gouverneur du Sénégal sur les côtes d'Afrique et de Mahé dans les Indes orientales, où il mourut en 1776. M. Dumas, qui avait remplacé M. de Beaujeu dans le commandement des Canadiens
La douceur et la politesse des moeurs datent en France de la régence d'Anne de Beaujeu, après la mort de Louis XI, et du mariage d'Anne de Bretagne avec Louis XII. La pureté et la décence des moeurs étaient jointes alors
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