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Mis à jour: 17 juillet 2025
Sieyes, Talleyrand, Bonaparte, Roederer, Lucien et Boulay de la Meurthe, qui étaient l'âme de l'entreprise, décident qu'il faut se hâter de rassembler les députés de leur parti errans dans les appartemens et dans les corridors de Saint-Cloud. Boulay et Lucien se mettent
[Footnote 119: En 1429. Saint Rémi de Lyon soutint contre Jean Scot le parti de Gotteschalk et de la grâce. Selon Du Boulay, c'est
C'était un motif de se hâter: ses frères, ses conseillers habituels, Roederer, Réal, Régnault de Saint-Jean-d'Angély, Bruix, Talleyrand, lui amenaient tous les jours des membres du parti modéré et politique dans les conseils. C'étaient, dans les cinq-cents, Boulay (de la Meurthe), Gaudin, Chazal, Cabanis, Chénier; dans les anciens, Cornudet, Lemercier, Fargues, Daunou. Leur avis
[Note 277: Voy. l'ouvrage de M. le comte BOULAY DE LA MEURTHE, le Directoire et l'expédition d'
Aussitôt l'impulsion est donnée. Lucien réunit Boulay, Chazal, Cabanis,
Gohier voulut alors servir de conciliateur, mais ne put y réussir. Dans ce moment, plusieurs membres des cinq-cents et des anciens s'étant réunis, vinrent prier les deux directeurs de céder, en promettant qu'il ne serait point dirigé contre eux d'acte d'accusation. Larévellière leur répondit avec fierté qu'il n'attendait point de grâce, qu'on pouvait l'accuser, et qu'il répondrait. Les députés qui s'étaient chargés de cette mission retournèrent aux deux conseils, et y causèrent un nouveau soulèvement en rapportant ce qui s'était passé. Boulay (de la Meurthe) dénonça Larévellière, avoua sa probité, mais lui prêta mal
Régnier, Boulay, un parti nombreux du conseil des anciens, et beaucoup de membres de celui des cinq-cents, voulaient aussi remettre entre ses mains le sort de la république. Ce parti était celui des modérés et des hommes les plus sages de la législature; c'est celui qui s'était opposé avec Lucien Bonaparte
Son conseil privé donna pour meneurs aux députés des Anciens, Regnier, Cornudet, Lemercier et Fargues; et pour guides aux députés du Conseil des cinq cents, dévoués au parti, Lucien Bonaparte, Boulay de la Meurthe,
A cette époque l'attention du gouvernement vint s'absorber dans les travaux préparatoires des deux commissions législatives intermédiaires. Celle des Cinq cents était conduite par Lucien, Boulay, Jacqueminot et Daunou; celle des Anciens l'était par Lemercier, Lebrun et Régnier. L'homme le plus fort était sans contredit Lebrun; ses avis, Bonaparte les réclamait et les recevait avec déférence. Il s'agissait de discuter en grande conférence le nouveau projet d'organisation sociale que Sieyes désirait présenter pour remplacer la constitution de l'an III, dont il ambitionnait de faire les funérailles. Sieyes, dont l'arrière-pensée était connue de Bonaparte, affectait un grand mystère; il disait qu'il n'avait rien de prêt; qu'il n'avait pas le temps de mettre ses papiers en ordre. Il jouait le silence, en cela semblable
Les commissions des dépenses, des fonds et de la guerre, établies dans les cinq-cents pour s'occuper de ces divers objets, se réunirent, et projetèrent un message au directoire. Boulay (de la Meurthe) fut chargé du rapport, et le présenta le 15 prairial. Sur sa proposition, le conseil des cinq-cents adressa au directoire un message par lequel il demandait
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