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Mis à jour: 7 juin 2025


Ils s'y rendirent cependant, et on les y laissa aller. Ils trouvèrent Bonaparte entouré de Sièyes, Ducos, d'une foule de députés et d'un nombreux état-major. Bottot, le secrétaire de Barras, venait d'être fort mal accueilli. Bonaparte, élevant la voix, lui avait dit: «Qu'a-t-on fait de cette France, que j'avais laissée si brillante? j'avais laissé la paix, j'ai retrouvé la guerre; j'avais laissé des victoires, j'ai retrouvé des revers; j'avais laissé les millions de l'Italie, et j'ai trouvé des lois spoliatrices et la misère. Que sont devenus cent mille Français que je connaissais, tous mes compagnons de gloire? ils sont mortsL'envoyé Bottot s'était retiré atterré; mais dans ce moment la démission de Barras était arrivée et avait calmé le général. Il dit

Les aveux de David Monnier, les réticences de Fauche-Borel, l'impossibilité de retrouver parmi les documents une pièce quelconque engageant la responsabilité de Barras ou celle de Bottot, ou établissant leur complicité, ne laissent aucun doute sur le caractère véritable de cette affaire. Ce fut une simple escroquerie imaginée par David Monnier, et dont le plan, après lui avoir été suggéré par la sottise de Fauche-Borel, se développa, au mépris de toute vraisemblance,

Après le repas, on annonce Bottot, le secrétaire de Barras, ami du maître de la maison. Celui-ci présente Frédéric Borelly comme un de ses correspondants étrangers, surpris dans Paris par les événements et désireux d'en sortir. Bottot laisse espérer un passeport. L'entretien s'engage ensuite sur les dramatiques incidents de la journée. Bottot en parle librement; il est presque tenté de les regretter. Il eût préféré que la situation se dénouât par un rapprochement entre la majorité du Directoire et les membres les plus modérés des deux conseils. Fauche-Borel parle peu; mais il écoute et approuve. Intérieurement, il se rend cette justice qu'

Je venais de rejoindre le général, établi pour le moment, dans le local des inspecteurs de la salle du Conseil des Anciens, quand Bottot, secrétaire intime de Barras et porteur de la dépêche de ce directeur, entra dans ce bureau devenu quartier-général. Tout avait l

Au mois de mai précédent, Bottot lui ayant ménagé un court et mystérieux tête-

Toutes ces pièces furent soumises au Directoire. Barras, et après lui Bottot, n'eurent aucune peine

Dans le langage de Bottot, il retrouve un écho de ses propres sentiments. Ce langage et l'influence que semble exercer sur celui qui le tient David Monnier, lui suggèrent peu

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