Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 4 juillet 2025


Elle contient douze «ballades bosniaques». Il est difficile de reconnaître pour authentiques même celles qui ont un fond véritablement populaire. Dans la Belle Léposava par exemple, qui n'est autre chose que la Mort de Militch le porte-drapeau, l'auteur a tellement mutilé et fardé le texte, pour le faire plus naïf, qu'il l'a rendue méconnaissable.

13. «Comment naquit et s'envenima la discorde de ton père et du mien; fut-ce l'amour ou l'envie qui les rendit ennemis? peu importerait même si je ne l'ignorais pas. Dans des esprits fiers, irascibles, quelques torts légers sans intention suffisent pour troubler la paix. Le bras d'Abdallah était redoutable dans la mêlée; il est encore célébré dans les chants bosniaques, et les hordes rebelles de Paswan[f31] attestent assez combien elles redoutaient un pareil hôte. Sa mort, cruel effet de la haine de Giaffir, est tout ce que j'ai besoin de rappeler ici, et comment le secret de ma naissance qui me fut révélé, quel qu'en soit d'ailleurs le résultat, a déj

Les rayas bosniaques cherchèrent de nouveau leur salut dans l'émigration. On se rappelle les scènes de ce lamentable exede qui émurent toute l'Europe en 1873 et en 1874.

La même année, comme nous le verrons ailleurs, Byron témoigna avoir entendu parler des «chants bosniaques». Pourtant, les textes que l’on possédait n’étaient ni tous authentiques, ni assez nombreux, ni publiés avec exactitude, ni fidèlement traduits: leurs éditeurs avaient toujours pris le soin de les «embellir» et de les «polir» avant de les livrer au public.

Sous le ban Stephan IV, l'empereur des Serbes, le grand Douchan, occupa la Bosnie; mais elle reconquit bientôt son indépendance , et, sous Stephan Tvartko, qui prend le titre de roi, le pays jouit, une dernière fois, d'une période de paix et de prospérité. On peut s'en faire une idée par les splendeurs du couronnement de Tvartko au couvent grec de Milosevo, près de Priepolje, au milieu d'une nombreuse réunion de prélats des deux rites et des magnats bosniaques et dalmates. Il prend le titre de roi de Serbie, parce qu'il en a conquis une partie, et il annexe aussi la Rascie, c'est-

En 1875, les Serbes soutinrent les Bosniaques et les Herzégoviniens révoltés en raison du poids trop lourd des impôts. Les Turcs réprimèrent ce soulèvement, ainsi que le mouvement tenté par les Bulgares; ils écrasèrent les Serbes et marchèrent sur Belgrade. Intervenant en faveur des peuples slaves, la Russie adressa alors

«Aurait-on supposé, il y a moins de vingt-cinq ans, l'existence d'un écrivain assez hardi pour traduire des poésies illyriques, un libraire assez mauvais calculateur pour les publier, un journaliste assez téméraire pour en rendre compte avec quelque éloge? Y aurait-il eu assez de risées, de sifflets pour les punir? Concevez, si vous le pouvez, la belle colère des Laharpe, des Geoffroy! Grand Dieu! régaler de poésies dalmates, bosniaques et consorts, la nation du goût le plus pur, le plus classique, le plus sévère! Vouloir faire prononcer des noms barbares

Vient alors un long passage sur ces ballades bosniaques. Enfin, M. Keightley terminait: «Mais les pièces les plus intéressantes de ce petit volume sont peut-être les poèmes sur le vampirisme et le mauvais œil, ces extraordinaires illusions de l'imagination qui produisent tant de malheur et de misère. Les poèmes qui traitent du dernier sujet se rapprochent beaucoup des classiques grecs et latins. Chaque passage de Théocrite et de Virgile sur l'ensorcellement des troupeaux et des chanteurs qu'admirent les critiques et qu'étudient les écoliers, pourrait trouver un équivalent dans les poèmes de la Guzla. Le vampirisme est un vieux sujet, inconnu, croyons-nous, de l'antiquité; un ouvrage sur cette question [le Traité de dom Calmet] qui en contient une très remarquable analyse, auquel le traducteur de ces poèmes lui-même rend hommage, nous remémore avec force l'ignorance, le barbarisme et la crédulité dont notre contrée même a donné nombre d'exemples dans les procès de sorcellerie, avant l'établissement des règlements qui mirent un terme

Après la conquête par les Ottomans, le territoire fut, comme d'habitude, divisé en trois parts, une pour le sultan, une pour le clergé, une pour les propriétaires musulmans. Ces propriétaires étaient les nobles bosniaques, les bogomiles convertis

[Note 8: Le serbe n'a guère pris au turc des mots désignant des choses usuelles, des objets fabriqués surtout, et des noms de métiers. Les Bosniaques, tout zélés musulmans qu'ils ont la prétention d'être, ont conservé, comme on sait, les noms, la langue et beaucoup des usages slaves. Je me suis diverti plus d'une fois

Mot du Jour

offero

D'autres à la Recherche