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Mis à jour: 19 juillet 2025
Tes montantes roulades Ont l'invincible élan des jets d'eau bondissants. Matelot enivré dans la vergue des arbres, Tu mens en désignant de tes cris éblouis Des terres de délice et des golfes de marbre, Et tout ce que l'espoir a de plus inouï;
Une brillante cavalcade de chevaux bondissants et de voitures richement décorées s'arrêtait, le lendemain vers midi, devant la maison de Madame d'Aulnay. Le magnifique équipage du Colonel Evelyn s'y faisait surtout remarquer; le Colonel lui-même se tenait près de sa monture, et l'air ennuyé et contraint qui se peignait sur sa figure indiquait clairement qu'il se trouvait l
Les lèvres mi-entr'ouvertes et ses dents serrées indiquaient toute l'attente d'une sensualité délirante, qui touche au paroxisme de la rage du plaisir, qui demande l'excès. A peine arrivés près du lit, nous nous jetâmes bondissants l'un sur l'autre. Comme deux bêtes acharnées. Partout nos corps se touchaient, se frottaient, s'électrisaient rapidement.
La grande prairie se déroule, mouchetée de vertes forêts, de troupeaux de buffles, de hordes de chevaux sauvages, de loups, de daims bondissants; et au milieu de cette immensité silencieuse, passe l'Indien, rapide, agile, infatigable, sans laisser derrière lui la trace de ses pas, sans faire le moindre bruit, sans faire ployer le brin d'herbe sur lequel son pied se pose.
J'aurais joué sur le mot, et d'avance j'en avais ri tout seul une heure, quand je me trouve au milieu de la cour en présence d'une troupe de gaillards animés, nerveux, bondissants comme des sauterelles, et ceci est l'illusion sur laquelle je veux consulter les savants. Voyons l'illusion. Et sentant le vin d'une lieue. Le vin! Frère Borromée vous avait donc trahi?
Mais les fureurs, les pleurs, les cris, le sang versé, Les sublimes amours qui nous ont harassés, Les fauves bondissants, témoins de nos délires, Ont suivi lentement le doux chant de la lyre Jusque sur la montagne où nous nous consolions; Les voici remuants, les chacals, les lions Dont la soif et la faim nous font un long cortège... J'avais cru, mon enfant, que le passé protège, Que l'esprit est plus sage et le coeur plus étroit, Que la main garde un peu de cette altière neige Que l'on a recueillie aux sommets purs et froids Où plane un calme oiseau plus léger que le liège.
Elle se détourna, comme une longue lueur d'or, vers les profondeurs ensevelies dans l'obscurité. Et sa voix, devenant immédiatement stridente, réveilla, comme de force, en des sursauts bondissants, les échos des immenses salles autour d'elle: «Et maintenant, fakirs voilés, spectres errants entre les piliers de cette demeure et qui, cachant vos cruelles mains, apparaissez, par intervalles, révélés, seulement, par l'ombre rapide que vous projetez sur les murailles, écoutez la menaçante voix d'une femme qui, servante, hier encore, de ceux-l
Ancien Testament des Hellènes; amphore Qui verses dans les coeurs un vin sombre et hardi, Je sais bien les secrets que ton ombre m'a dits. Je sais que tout l'espace est empli du courage Qu'exhalèrent les Grecs aux genoux bondissants; Les chauds rayons des nuits, la vapeur des nuages Sont faits avec leur voix, leurs regards et leur sang.
Ainsi venait l'automne et les froids avec elle. Mais ce temps enchanteur, cette époque si belle Qu'on appelle au hameau l'été de la Toussaint Ranima le coeur triste et le soleil éteint: L'univers rayonnant et brillant de fraîcheur, Semblait sortir des mains du sage Créateur. On eût dit que l'amour régnait dans tout le monde; Que l'océan chantait pour endormir son onde! Et des accents nouveaux, de magiques concerts Paraissaient s'élever des bourgs et des déserts! Des enfants qui jouaient les voix vives et nettes, Les refrains sémillants des luisantes girouettes Qui criaient dans les airs, sur les toits des donjons, Les doux roucoulements des amoureux pigeons, Les plaintes de la brise et les battements d'ailes Des oiseaux qui volaient au-dessus des tourelles Tout n'était qu'harmonie, ivresse et pur amour! Tout semblait du printemps annoncer le retour! Sur le bord de la mer et des hautes collines Le soleil argentait les limpides bruines; L'océan était d'or: les arbres des forêts Berçant, avec orgueil, les chatoyants reflets De leur manteau safran, ou pourpre ou diaphane, Etincelait de loin comme le fier platane, Quant le Perse idolâtre orne ses verts rameaux De voiles éclatants et de brillants joyaux. Tout respirait la paix, le calme et l'innocence: La nuit dans les vallons descendait en silence, Et l'étoile du soir étincelait encor. Irisant le ciel bleu de ses filandres d'or. Les troupeaux bondissants regagnèrent l'étable En flairant du gazon le parfum délectable. En respirant du soir l'agréable fraîcheur. Devançant les troupeaux, brillante de blancheur, Venait en s'ébattant une grasse génisse, Celle d'Evangéline, avec son beau poil lisse. Sa clochette joyeuse et son joli collier. On vit le jeune pâtre
Oh! la guerre, mes enfants, comme c'est chose terrible! Comment des hommes se laissent-ils séduire, prendre au piège par des costumes recherchés, par des coursiers bondissants, par les vains mots d'honneur et de gloire, au point d'oublier, grâce
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