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Mis à jour: 3 novembre 2025
Je montai en voiture avec Blondeau pour porter moi-même cette cassette chez M. de Rochegune, réfléchissant malheureusement trop tard que je n'avais plus
Je méditai longtemps ce beau projet; j'avais, me dit plus tard Blondeau, l'air grave, pensif et préoccupé. Je redoublai de tendresse
Madame, me dit tout bas Blondeau en me montrant M. de Rochegune, je reconnais sa voix... c'est lui... Comment? C'est la personne qui venait savoir de vos nouvelles de la part de M. de Mortagne. Que dis-tu? Aussi vrai que le bon Dieu est au ciel, c'est lui, madame; je suis sûre de ne pas me tromper; c'est sa voix, vous dis-je.
Je trouvai Blondeau dans mon cabinet d'étude; elle me dit qu'une femme, qui venait me solliciter pour une bonne œuvre, demandait
J'éprouvai d'abord, je ne sais pourquoi, comme un serrement de cœur en voyant M. de Lancry valser avec madame de Richeville. Je me souvins involontairement des paroles que j'avais entendu prononcer. Je ne doutai plus qu'il l'aimât. Elle avait un air de résolution et de fierté qui m'effrayait; pourtant, quand je pensais qu'elle était l'amie de M. de Mortagne, qui m'avait protégée, qui avait été, m'avait dit plus tard madame Blondeau, si profondément dévoué
Comme moi, plus que moi encore, la duchesse s'indigna de cet ignoble abus de confiance. Mon parti fut bientôt pris. J'envoyai le lendemain matin Blondeau chez M. de Senneville avec l'ordre de me rapporter le coffret. Si M. de Senneville était absent, elle devait prier son valet de chambre de lui remettre ce dépôt. Cet homme, qui la connaissait, ne fit aucune difficulté, et le lui rendit.
Ce fut seulement le 25 décembre que le prisonnier quitta le château d'Amboise. Il fut placé dans un carrosse, où entrèrent avec lui Pecquet, son médecin; La Vallée, son valet de chambre; M. de Talhouet; Batine, maréchal de la compagnie des mousquetaires; Bonin et Blondeau, qui avaient amené le carrosse
Je ne pus retenir mes sanglots. Je baisai pieusement le cercueil, et je rentrai avec madame Sécherin et Blondeau dans l'intérieur de l'appartement. Nous entendîmes des pas confus... quelques voix grossières... qui se turent un moment... puis une marche pesante, mesurée... et enfin le roulement sourd d'une voiture qui s'en allait lentement...
Mademoiselle, me dit Blondeau, mademoiselle de Maran vous prie de descendre chez elle. Madame de Richeville me fit une modeste révérence et sortit.
Quelle voix, monsieur Stok? Je ne sais, madame Blondeau... Quelquefois il interrompt brusquement sa promenade, s'arrête... paraît écouter, met les deux mains sur son front et recommence
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