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Mis à jour: 30 avril 2025
Quand les cigognes du Caystre S'envolent aux souffles des soirs; Quand la lune apparaît sinistre Derrière les grands dômes noirs; Quand la trombe aux vagues s'appuie; Quand l'orage, l'horreur, la pluie, Que tordent les bises d'hiver, Répandent avec des huées Toutes les larmes des nuées Sur tous les sanglots de la mer;
Les premières bises de l'hiver nous chassent vers la ville. Les jours se font courts et brumeux. Pendant que j'écris, au coin du feu, dans la maison isolée, la lune se lève, toute rouge, au bout de l'allée que jonchent les feuilles mortes. Tout se tait. Une immense tristesse s'étend
Le ciel est de cuivre Sans lueur aucune. On croirait voir vivre Et mourir la lune. Corneille poussive Et vous les loups maigres, Par ces bises aigres Quoi donc vous arrive? Dans l'interminable Ennui de la plaine, La neige incertaine Luit comme du sable. Le rossignol, qui du haut d'une branche se regarde dedans, croit être tombé dans la rivière.
Sur ces humbles rocs où flotte le drapeau tricolore, habite tout un petit monde de pêcheurs endurcis par l'âpre haleine des bises glaciales du pôle. Ce petit coin de terre qui semble au premier abord ne pouvoir être habité, voit fourmiller autour de lui une richesse naturelle intarissable, je veux dire ces bancs de morues et de harengs plus précieux que l'argent et l'or, et qui ont donné
Madeleine eut le coeur ému, vit dans ce spectre, sous l'arcature grisonnante d'un frêne, je ne sais quelle entéléchie du grand travail méconnu, de toute une humanité désespérée, sans plainte mourant au fond des cabanes, et le remords lui montait de son existence passée, si large, si abondamment heureuse, insoucieuse des pauvres chairs bises qui maigrissent dans l'âpre combat, sans récompense.
Un soir que ces bises soufflaient rudement, au point que janvier semblait revenu et que les bourgeois avaient repris les manteaux, le petit Gavroche, toujours grelottant gaîment sous ses loques, se tenait debout et comme en extase devant la boutique d'un perruquier des environs de l'Orme-Saint-Gervais. Il était orné d'un châle de femme en laine, cueilli on ne sait où, dont il s'était fait un cache-nez. Le petit Gavroche avait l'air d'admirer profondément une mariée en cire, décolletée et coiffée de fleurs d'oranger, qui tournait derrière la vitre, montrant, entre deux quinquets, son sourire aux passants; mais en réalité il observait la boutique afin de voir s'il ne pourrait pas «chiper» dans la devanture un pain de savon, qu'il irait ensuite revendre un sou
Ils rampent, flagellés par les bises iniques, Frémissant au fracas roulant des omnibus, Et serrant sur leur flanc, ainsi que des reliques, Un petit sac brodé de fleurs ou de rébus; Ils trottent, tout pareils
Rires oiseux, pleurs sans raisons, Mains indéfiniment pressées, Tristesses moites, pâmoisons, Et quel vague dans les pensées! L'automne heureusement, avec Son jour froid et ses bises rudes, Vint nous corriger, bref et sec, De nos mauvaises habitudes, Et nous induisit brusquement En l'élégance réclamée De tout irréprochable amant Comme de toute digne aimée...
Et hideuses, osseuses, abominables, avec leurs grandes cuisses grêles et leurs longues mamelles aux pis noirs, desséchées par les bises, racornies comme de vieux cuirs, brûlées par soixante soleils, elles faisaient, frappant
Ah! ce que nous souffrons N'est rien... Plus bas que l'arbre en proie aux froides bises, Sous cette forme horrible, est-ce que les Cambyses, Est-ce que les Nérons,
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