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Mis à jour: 23 mai 2025


Oh! non, fait Sylvère, je n'ai jamais beaucoup goûté Biarritz. On y rencontre trop d'Espagnols qui parlent français, et réciproquement.

Ton seuil profond lui semble une rougeur de feu; Sur ton vide pour lui quand ta pierre se lève, Il s'y penche; il y voit, ainsi que dans un rêve, La face vague et sombre et l'oeil fixe de Dieu. Biarritz, juillet 1843. J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, Parce qu'on les hait; Et que rien n'exauce et que tout châtie Leur morne souhait;

Mme de Montmartel qui était revenue de Biarritz en toute vapeur présenta son fils, après avoir fait une visite quelque peu humiliante

Biarritz, 1er octobre 1863. Mon cher Panizzi, Les rhumes dont je vous ai effrayé vont

Adieu, mon cher Panizzi. Dites-moi ce que vous devenez. Je ne suis pas surpris que les eaux d'Ems ne vous aient pas immédiatement soulagé. Vous savez qu'on n'en ressent les effets que quelques semaines après. Paris, 8 septembre 1861. Mon cher Panizzi, Je viens de recevoir un télégramme de Biarritz. On me dit que, quand j'y viendrai, il y aura une chambre pour moi.

On est ici dans un état de crise qui, dans un autre pays, n'aurait rien d'effrayant, mais qui, avec des imaginations niaises comme on en a ici, pourrait devenir très grave. Mon hôte de Biarritz en est un peu alarmé et commence

Entre temps on est en gare de Bayonne. Nous prenons une voiture pour Biarritz, dit Mariolles. Ambroise continue par La Négresse, avec les bagages. San Buscar accepterait peut-être une place; mais comme on ne la lui offre pas: Moi, j'irai par le tram', dit-il. Vous n'avez pas besoin de mon valet de chambre? Il est l

31 mars. «Vous ne serez jamais décorésC'est ainsi qu'un ami commence le récit suivant: A Biarritz, il y a une bibliothèque de 25 volumes, votre HISTOIRE DE LA SOCI

L'industrie moderne ne permet pas ces choses. Elle entend «exploiter» la nature et utiliser ses beautés. Elle ne saurait souffrir que, pour les spectacles coûteux elle nous convie, tant de beaux décors soient perdus. L'industrie s'est donc emparée de Biarritz et, si je n'aime pas beaucoup ce qu'elle y a fait, je reconnais que, tout de même, ce qu'elle y a fait est très digne d'être admiré.

Elle a (naturellement) doté Biarritz d'un beau théâtre et du plus opulent des casinos; elle a déguisé ses cochers en postillons de l'autre siècle et paré sa plage de petites tentes rondes, très coquettes, qui semblent,

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