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Mis à jour: 26 juillet 2025


Il était trop content de M. de Talleyrand pour lui refuser ce qu'il paraissait désirer si vivement; il le fit donc vice-grand-électeur, et, ainsi que Berthier l'avait été, il fut remplacé au ministère par M. de Champagny. L'empereur fut très fâché de ce changement, surtout dans la circonstance qui approchait, et M. de Talleyrand ne tarda pas

Je fis si bien mon devoir que ça fit du bruit dans le cabinet du ministre prince Berthier, mon général Monthyon présent: «Ce vieux grognard fait marcher tout le monde

Le secret, renfermé entre le Premier Consul, Berthier, et deux ou trois généraux du génie et de l'artillerie, qu'on avait été forcé d'initier au plan de campagne, était profondément gardé. Aucun d'eux ne l'aurait compromis, parce que le secret est un acte d'obéissance qu'obtiennent les gouvernements, en proportion de l'ascendant qu'ils exercent. À ce titre, celui du Premier Consul n'avait aucune indiscrétion

C'est dans le moment même le Premier Consul négociait avec M. de Saint-Julien les préliminaires de paix, il séduisait le coeur si inflammable de Paul Ier, et fomentait dans le Nord la querelle des neutres, c'est dans ce moment qu'il expédia en toute hâte le général Berthier

Berthier ajouta: «que si nous marchions plus avant, les Russes auraient pour eux nos flancs trop alongés; la famine, et sur-tout leur puissant hiver; tandis qu'en s'arrêtant, l'empereur mettrait l'hiver de son côté, et se rendrait maître de la guerre; qu'il la fixerait

Napoléon remercia en souriant le franc campagnard, jeta un coup d'œil sur une petite maison de campagne, bâtie au bord de la grande route, et s'adressant au général Berthier, il dit: «Voil

CONVENTION faite pour l'occupation de la ville de Gênes et de ses forts, le 5 messidor an VIII, ou 24 juin 1800, conformément au traité fait entre les généraux en chef Berthier et Mélas. Les commissaires et officiers munis d'ordres du général Suchet pourront entrer demain

C'est qu'il a assisté, et de tout près, aux commencements de la Révolution, et que, malgré les horreurs dont il a été témoin: la prise de la Bastille, et les têtes de Berthier et de Foulon passant sous ses fenêtres, et le 5 octobre et les premières grandes journées criminelles, il a senti l'ivresse révolutionnaire, l'ivresse du Paris de la rue, des clubs, des spectacles, des maisons de jeu, et du Palais-Royal. Deux fois, il a rencontré Mirabeau; il le juge avec une extrême indulgence, ou plutôt il l'admire: «Ce fils des lions, lion lui-même

Une fort belle voiture du prince Berthier, qui venait d'arriver et n'avait point encore servi, fut aussi brûlée. À chacun de ces feux se tenaient quatre grenadiers qui, la baïonnette en avant, devaient empêcher que personne ne prît ce qui devait être sacrifié. Le lendemain on fit la visite des voitures qui avaient été épargnées pour s'assurer qu'il n'y restait aucun effet. Je ne pus garder que deux chemises. Nous couchâmes

Gantheaume et moi nous nous hâtâmes d'informer le général en chef de l'état des choses. Tout étant préparé pour nous rejoindre, il arriva sans retard, amenant avec lui Berthier, Andréossi, Bourrienne, ses aides de camp; Monge, Berthollet, Denon et Parceval-Grandmaison. Les autres compagnons de voyage étaient

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