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Mis à jour: 10 mai 2025


Si Benjamin Constant n'avait pas marqué sa place au premier rang parmi les orateurs et les publicistes de la France, si ses travaux ingénieux sur le développement des religions ne le classaient pas glorieusement parmi les écrivains les plus diserts et les plus purs de notre langue; s'il n'avait pas su donner

Benjamin Constant, dont les principes politiques avaient toujours été opposés au gouvernement despotique (son attitude dans le tribunat en témoigne assez; son beau livre de l'Esprit de conquête en témoigne plus encore), Benjamin Constant dont les amis les plus chers avaient été persécutés par Napoléon, devait voir avec aversion le retour de l'ordre de choses qu'il avait toujours combattu. Il fit paraître le 19 mars, dans le Journal des Débats, son fameux article, protestation éloquente du droit contre la force, dont la dernière phrase a été si souvent citée: «Parisiens! non, tel ne sera pas notre langage, tel ne sera pas du moins le mien. J'ai vu que la liberté était possible sous la monarchie, j'ai vu le roi se rallier

À la vue de mon oncle, il se fit un hourra universel dans l'armée. M. Minxit commanda en place repos, et conduisit Benjamin dans sa salle

Benjamin, donc, fit griser l'huissier de Bonteint, et enveloppa de l'onguent de la mère avec le papier timbré de la cédule.

Benjamin ne discernait pas encore sa véritable vocation; comme il était ému en face de la nature, il se crut poëte; il n'improvisait plus ses vers comme autrefois sur de vieux airs; il les écrivait avec soin, et ne les chantait que lorsqu'il était content de leur forme. C'est ainsi qu'il fit deux ballades sur des aventures de marins; il les chanta

Cela ne veut pas dire que je dédaigne les oeuvres des contemporains; seulement la postérité jugera les hommes mieux que nous. Je voudrais avoir quelque chose de Benjamin Constant et surtout de Royer-Collard. Mais quoi! je ne suis pas au courant de ces publications. Veuillez m'aider, m'envoyer ce qu'il y a de plus remarquable et le plus

C'en est trop, dit Benjamin poussant mon grand-père par les épaules: va-t'en, Machecourt, et vous aussi, ma chère sœur, allez-vous-en, je vous en prie, car vous me feriez commettre une faiblesse; mais, je vous en préviens, si vous vous avisez de vendre votre vigne pour payer ma rançon, jamais de ma vie je ne vous reverrai.

Oh! madame, reprit Benjamin en s'inclinant avec grâce, je vous prie de croire que si c'était de vous que j'eusse reçu une pareille insulte, je ne vous garderais pas rancune. Madame de Cambyse sourit, et comprenant qu'il n'y avait rien

À la vue de Benjamin, tous les convives poussèrent une acclamation et déclarèrent qu'il fallait se mettre

Trois semaines après, quand on apprit que M. Benjamin Constant était mort, le parti populaire se mit en mouvement et voulut lui faire décerner de grands honneurs. Une couronne civique fut déposée sur le banc de la Chambre il siégeait habituellement. On demanda que la Chambre entière assistât, en costume,

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