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Il est vrai de dire qu'il ne se souciait pas fort de se battre avec vous, et qu'il dit même: «Je le poignarderais, si ma réputation était bien établie; mais, par malheur, elle ne l'est pas, ce qui fait que je dois me battreEt, en effet, il vous appela, et comme si vous étiez le véritable fils de M. de Bellegarde et que vous n'ayez pas plus de mémoire que lui, vous vous battîtes sur la place Royale, l

Une dame d'Auvergne, soeur de madame de Senneterre, de la maison de La Chastre, se mit en tête d'être galantisée par ce M. de Bellegarde, dont elle entendoit tant parler, et un jour qu'il passoit assez près du lieu elle demeuroit, elle l'envoya prier de venir loger chez elle. Il y alla; elle se fit toute la plus jolie qu'elle put;... et il repartit le lendemain matin. Au bout de trente ans il la revit

«Au retour imprévu du roi, ils étaient ensemble. Tout ce que put faire une confidente, ce fut de faire passer Bellegarde dans un cabinet elle couchait près du lit de sa maîtresse. Cela s'était fait sans que le roi s'en aperçût, et tout était tranquille lorsqu'il s'avisa de demander des confitures qu'on mettait dans ce cabinet. Madame Gabrielle appela la Rousse (c'était le nom de cette confidente); on avait pris des mesures pour qu'elle ne s'y trouvât point. Soit que cette absence donnât du soupçon au roi, ou qu'il ne pensât qu'

À neuf heures du soir, le lieutenant général de Fresnel, émigré français au service d'Autriche, se présenta aux avant-postes et vint de la part de M. de Bellegarde, mais, dans le fait, envoyé par l'archiduc, pour proposer un armistice. Je lui fis répondre que, n'étant pas autorisé

A cause de sa charge de grand-écuyer. Un jour M. de Praslin, capitaine des gardes-du-corps, depuis maréchal de France durant la régence, pour empêcher le Roi d'épouser madame de Beaufort, lui offrit de lui faire surprendre Bellegarde couché avec elle. En effet, il fit lever le Roi une nuit

Deux fois les Français sont repoussés avec des pertes considérables. Enfin un assaut général semble nous donner la victoire partout en même temps: Fromentin oblige son adversaire Bellegarde d'abandonner les redoutes de Saint-Waast et de Saint-Aubin; Balland chasse les grenadiers bohêmes des hauteurs de Doulers, qui foudroyaient Wattignies; nos tirailleurs redoublent d'efforts. Le village de Wattignies est pris et repris

Il faisoit des banquets avec M. de Bellegarde, le maréchal de Roquelaure et autres, chez Zamet et autres. Quand ce vint au maréchal, il dit au Roi qu'il ne savoit les traiter, si ce n'étoit aux Trois Mores. Le Roi y alla; ils menèrent un page

On voit que les vingt-six mille hommes de Hotze, et les quarante-six mille de Bellegarde, devaient agir dans les montagnes. Ils devaient gagner les sources des fleuves, tandis que les armées qui agissaient dans la plaine tâcheraient d'en franchir le cours. Du côté des Français, l'armée d'Helvétie était chargée du même soin.

Une fois qu'on attendoit M. de Bellegarde

Nous repartîmes, vers le soir. En revenant, pour amuser la compagnie, je racontai qu’une autre fois, M. le duc de Bellegarde était venu