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Mis à jour: 28 août 2024


L'empereur Napoléon gardait Braunau comme gage des bouches de Cattaro, et le gouvernement autrichien se trouvait ainsi toujours victime de la mauvaise foi qu'avait montrée son commissaire en remettant les bouches aux Russes. Afin de terminer cette affaire, les deux gouvernements projetèrent une opération combinée de Français et d'Autrichiens pour prendre Cattaro; on devait réunir des moyens communs et égaux pour faire le siége de Castelnovo et de Cattaro. M. le comte de Bellegarde m'écrivit par le major d'Albeck, pour me faire les propositions relatives

Les gens qui connoissoient bien M. de Bellegarde (comme M. de Racan) disent qu'on a cru trois choses de lui qui n'étoient point: la première, que c'étoit un poltron; la seconde, qu'il étoit fort galant; la troisième, qu'il étoit fort libéral. A la vérité, il ne recherchoit pas le péril, mais il ne manquoit nullement de coeur; dans la suite nous en verrons des preuves. Il avoit le port agréable, étoit bien fait, et rioit de fort bonne grâce. Son abord plaisoit; mais hors quelques petites choses qu'il disoit assez bien, tout le reste n'étoit rien qui vaille. Ses gens étoient toujours déchirés, et hors que ce fût pour quelque entrée, ou pour quelque autre chose semblable, il n'eût pas voulu faire un sou de dépense; mais dans les occasions d'éclat, la vanité l'emportoit. Il n'étoit point trop bel homme de cheval,

[Note 1025: Actes et correspondances du connétable de Lesdiguières, t. I, Introd., p. XXVIII-XXIX. Lettres, t. VII, p. 192, note. Roman, Catherine de Médicis en Dauphiné, Grenoble 1883; Dufayard, Le connétable de Lesdiguières, 1892, p. 57-61. Bellegarde mourut deux mois après sa réconciliation avec le Roi

Amant heureux de Gabrielle, enivré de cette rare fortune d'être aimé d'une femme si charmante, le duc de Bellegarde ne savait

A peu près, Monseigneur, je dois le dire; seulement Votre Eminence a oublié une chose. Laquelle? Si ma mémoire m'a fait défaut, quoiqu'elle soit meilleure que celle de M. de Bellegarde, je suis prêt

Un soir, qu'il se retiroit après souper, de chez M. de Bellegarde avec son homme qui lui portoit le flambeau, il rencontra M. de Saint-Paul, homme de condition, parent de M. de Bellegarde, qui le vouloit entretenir de quelque nouvelle de peu d'importance.

Le comte de Bellegarde se trouvait en ce moment dans un grave péril. Une partie des troupes du Tyrol sous le général Laudon s'étaient retirées devant Macdonald, et se repliaient sur Trente. Le général Moncey, avec son corps, y marchait de son côté, en remontant l'Adige. Le général Laudon, pris entre les corps de Macdonald et de Moncey, devait succomber,

Oui, n'est-ce pas, pour que l'insubordination se mette dans les autres chefs, pour que vos Guise, vos Bassompierre, vos Bellegarde refusent d'obéir

Un jour que le dernier cardinal de Guise, qui étoit archevêque de Reims, vint fort frisé dîner chez M. de Bellegarde, le même Yvrande alla dire tout bas ces quatre vers

Henri IV s'étoit en effet senti un doux penchant pour mademoiselle de Guise. Mais il vit Gabrielle, et n'eut plus d'yeux que pour elle; c'est alors que la beauté délaissée, pour se consoler, peut-être aussi pour diminuer les reproches qu'Henri pouvoit se faire, lia intrigue avec Bellegarde. Ce quadrille amoureux figure dans l'Histoire des amours du grand Alcandre.

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