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Mis à jour: 31 mai 2025


Monsieur, avez-vous entendu, dans la symphonie en la de Beethoven, ce glas qui revient toujours, qui vous bat sur le coeur?... Oui, je le vois bien, vous sentez comme moi, c'est une communion que la musique... Beethoven, mon Dieu! qu'il est triste et bon d'être deux

Sans doute Beyle connaissait-il moins la musique allemande que la musique italienne. Il n'a cependant point trop maltraité Haydn, et l'un des premiers il rendit hommage au Freischütz de Weber. Il n'a pas, il est vrai, entièrement compris Beethoven, dont l'œuvre ne lui fut jamais bien familière. Il adoucit pourtant, en 1814, le jugement qu'il empruntait

Beethoven eût été peut-être plus content de sa haine que de l'amour des Beethovéniens.

Que de douces heures ainsi passées entre Berthe, Arnold et Pierre Raimond! Celui-ci ne savait pas la musique; mais son jeune ami lui traduisait, lui expliquait pour ainsi dire la pensée musicale des grands maîtres, l'analysant phrase par phrase, et faisant pour l'oeuvre de Mozart, de Beethoven, de Gluck, ce qu'Hoffmann a si merveilleusement fait pour Don Juan.

Beethoven, ses critiques et ses glossateurs, par M. Oublichieff; in-8º, 1857, Leipsik et Paris. Scudo: Critique et littérature musicales. T. 1er.

En effet, plus j'entends, plus je lis l'ouvrage de Beethoven, et plus je le trouve digne d'admiration. L'ensemble et les détails m'en paraissent également beaux; partout s'y décèlent l'énergie, la grandeur, l'originalité et un sentiment profond autant que vrai.

Si b Fa b dans l'andante de la symphonie en ut mineur, M. Fétis avait même écrit en marge de la partition cette observation naïve: «Ce mi b est évidemment un fa: il est impossible que Beethoven ait commis une erreur aussi grossièreEn d'autres termes: Il est impossible qu'un homme tel que Beethoven ne soit pas dans ses doctrines sur l'harmonie entièrement d'accord avec M. Fétis. En conséquence M. Fétis avait mis un fa

La fréquence des exécutions est donc une condition essentielle pour le redressement des erreurs de l'opinion, lorsqu'il s'agit d'œuvres conçues, comme celles de Beethoven, en dehors des habitudes musicales de ceux qui les écoulent.

Encore Beethoven, peut-être, fit-il trop dominer l'orchestre au détriment du solo, tandis que la balance me semble en équilibre dans le système adopté par Ernst, Vieuxtemps, Liszt et quelques autres.

Oh! moi, je trouve cela inintelligible, ou plutôt insupportable, il n'y a pas de mélodie.... Au reste, tenez, voici plusieurs journaux qui en parlent, lisons: La symphonie avec chœurs de Beethoven représente le point culminant de la musique moderne; l'art n'a rien produit encore qu'on puisse lui comparer pour la noblesse du style, la grandeur du plan et le fini des détails.

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