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Mis à jour: 21 juin 2025
Je ne m'étendrai pas sur les malheurs qu'ont déversés sur Paris ces horribles gardes prétoriennes, qu'on nomme gardes royales; ces hommes avides de priviléges parcouraient les rues au nombre de seize régiments, égorgeant hommes, enfants et vieillards. On dit que deux mille étudiants y ont perdu la vie. Bayonne déplore la perte de plusieurs de ses enfants; en revanche la gendarmerie, les Suisses et les gardes du corps ont été écrasés le lendemain. Cette fois l'infanterie de ligne, loin de rester neutre, s'est battue avec acharnement, et pour la nation. Mais nous n'avons pas moins
De Saragosse, on me demandait également du renfort, et, qui plus est, l'empereur, après avoir ordonné, de Bayonne,
A onze heures, les corsaires de Bayonne et les deux brigs amarinés font route de leur bord en nous saluant de vingt et un coups de canon. Rendu le salut coup pour coup. Lavé le pont. Service ordinaire de propreté. A midi, dîner de l'équipage. «L'officier de quart, B
À l'époque de l'arrivée en France de la reine d'Espagne, l'empereur nomma de Bayonne des dames du palais pour tenir compagnie
Bayonne, le 16 juin 1808. M. de Caulaincourt, plusieurs acteurs de l'Opéra se sont sauvés de Paris pour se réfugier en Russie. Mon intention est que vous ignoriez cette mauvaise conduite. Ce n'est pas de danseurs et d'actrices que nous manquerons
La grande route de Bayonne
Muni de ces pièces, j'ai essayé d'appeler l'attention du public sur vos proceedings, sur lesquels les journaux français gardaient un silence calculé et systématique. J'ai écrit dans les journaux de Bayonne et de Bordeaux, deux villes naturellement placées pour être le berceau du mouvement. Récemment encore, j'ai fait insérer dans le Journal des
Bayonne, le 8 mai 1808. M. de Caulaîncourt, j'ai lu un ouvrage sur la tactique française que vous m'avez envoyé; je l'ai trouvé plein de faussetés et de platitudes. Sur ce, je prie Dieu qu'il vous ait en sa sainte garde. Bayonne, le 31 mai 1808.
Je n'ai pas le tems de vous en écrire davantage. Je suis fort occupé ici de choses qui me donnent beaucoup d'embarras. Daru vous expédiera cette lettre par une estafette. Sur ce, je prie Dieu, etc. Bayonne, le 26 avril 1808.
Pour ce qui me regarde personnellement, mon cher Félix, j'ai été bien agréablement désappointé, je venais chercher des dangers, je voulais vaincre avec mes frères ou mourir avec eux; mais je n'ai trouvé que des figures riantes et, au lieu du fracas des canons, je n'entends que les éclats de la joie. La population de Bayonne est admirable par son calme, son énergie, son patriotisme et son unanimité; mais je crois te l'avoir déj
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