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Mis à jour: 14 juin 2025


Puis, donnant le papier au président: Réunissez, dit-il, la démission du citoyen Barras

Tallien avait en quelques heures changé le voile de tristesse jeté sur la maison pendant l'absence de Terezia en une robe de fête. On sentait que la joie et l'amour venaient d'en ouvrir les fenêtres au splendide soleil de juillet. Comme je l'ai dit, Barras était au salon et nous attendait.

Puis, c'est une fête chez Barras, car il faut varier et contraster les tableaux. Barras dit

Après le repas, on annonce Bottot, le secrétaire de Barras, ami du maître de la maison. Celui-ci présente Frédéric Borelly comme un de ses correspondants étrangers, surpris dans Paris par les événements et désireux d'en sortir. Bottot laisse espérer un passeport. L'entretien s'engage ensuite sur les dramatiques incidents de la journée. Bottot en parle librement; il est presque tenté de les regretter. Il eût préféré que la situation se dénouât par un rapprochement entre la majorité du Directoire et les membres les plus modérés des deux conseils. Fauche-Borel parle peu; mais il écoute et approuve. Intérieurement, il se rend cette justice qu'

«Cette fortune date du siège de Toulon; le général Carteaux lui écrivait alors en style du temps: «A telle heure, six chevaux de poste, ou la mortIl me racontait un jour comment des bandes de brigands déguenillés arrivaient de Paris dans des voitures dorées, pour former, disait-on, l'esprit public. Dénoncé lui-même avec sa famille, après le 9 thermidor, comme terroriste, il vint se plaindre de sa destitution; mais Barras l'avait distingué

Elle est bien jeune encore, Bourrienne; on ne viole guère les enfants de sept ans. Entre les mains du citoyen Barras, mon cher, on grandit bien vite: la petite fille de sept ans est déj

Barras avait demandé

Il ne semble pas, qu'en lisant ce récit qui respire une confiance enthousiaste, Louis XVIII ait mis en doute ni la réalité de l'entretien de Bénard avec Barras, ni celle des dispositions attribuées

Puis de temps en temps vous me preniez la main, vous me regardiez et vous me disiez: Je vous aime. Oh! si je vous voyais, même en rêve, me regarder ainsi; si je vous sentais me serrer la main ainsi; si je vous entendais me dire ainsi: «Je vous aimetout ce mirage qui m'enveloppe s'évanouirait, et je serais sauvée. En sortant de chez Tallien, Barras entra.

Un corsaire de Dunkerque, le Barras, capitaine Fromentin, était en rade. A cette époque, on visitait rarement les bâtiments de ce genre, qui avaient en quelque sorte droit d'asile; il m'eût fort convenu d'y passer: un lieutenant de prise auquel je m'adressai me présenta

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