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Mis à jour: 29 juin 2025
Balao Rao, l'aîné de Dandou-Pant, mais d'un an
Kâlagani se contenta de répondre par un signe affirmatif, et disparut dans la foule. Un geste du nabab était pour lui un ordre. Dix minutes après, il avait quitté Bhopal. À ce moment, Balao Rao s'approcha de son frère. «Il est temps de partir, lui dit-il. Oui, répondit Nana Sahib, et il faut que nous soyons avant le jour au pâl de Tandît.
Tel fut le premier soin de Nana Sahib. Les Indous qui l'avaient suivi depuis Adjuntah, pouvaient aller et venir librement dans toute la présidence. Balao Rao, que ne visait pas la notice du gouverneur, aurait pu, lui aussi, jouir de la même immunité, n'eût été sa ressemblance avec son frère. Depuis sa fuite jusqu'aux frontières du Népaul, l'attention n'avait plus été attirée sur sa personne, et l'on avait tout lieu de le croire mort. Mais, pris pour Nana Sahib, il eût été arrêté, ce qu'il fallait éviter
Balao Rao ne crut pas devoir parler de cet incident
Balao Rao s'avança d'un pas assuré
Dandou-Pant, répondit Balao Rao, ce qui n'a pas réussi en 1857 peut et doit réussir dix ans après. En 1827, en 1837, en 1847, il y a eu des mouvements dans l'Inde! Tous les dix ans, les Indous sont repris des fièvres de la révolte! Eh bien, cette année, ils se guériront en se baignant dans des flots de sang européen!
Mais, dit Balao Rao, si cette femme connaît le pâl de Tandît, ne peut-elle y revenir pendant que nous l'occuperons, et n'avons-nous rien
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