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Nous l'espérons du moins, dit Holkar, mais j'ai peur de ne pas en être témoin. Ce Rao, il y a trois mois encore, mon premier ministre, a prévenu le colonel Barclay, dans l'espérance d'obtenir, pour prix de sa trahison, mes

Et, en effet, il pensa que le meilleur moyen de voir l'on avait transporté Sita était d'aller au quartier général de l'armée anglaise, certainement Rao avait chercher un asile. «Mais, ajouta-t-il, vous voudrez bien me permettre d'amener un ami. Assurément, monsieur, dit l'Anglais, tous les amis qu'il vous plaira amener

Nana Sahib vivant!...» Oui, le nabab lui-même, l'ancien chef de la révolte des Cipayes, l'implacable ennemi de Munro! Mais qui avait donc succombé dans la rencontre au pâl de Tandît? C'était Balao Rao, son frère.

Il est arrivé un grand malheur. Rao, qu'on croyait empalé, a corrompu ses gardiens, et a pris la fuite avec eux. Tiens, dit Corcoran, il n'est pas bête, ce RaoEt tout en parlant, il finissait de s'habiller. «Eh bien, seigneur, dit Ali, Son Altesse croit qu'il va rejoindre les Anglais, qui sont déj

Nana Sahib et Balao Rao, l'un près de l'autre, ne se parlaient pas, mais la même pensée occupait leur esprit. De cette excursion au del

Je vais poursuivre le misérable Rao, le prendre et de ma propre main le pendre au premier arbre du chemin. Oui, vous avez raison, fit Holkar ranimé par l'espérance de retrouver sa fille, et je vais partir avec vous.

Nana Sahib et Balao Rao, accompagnés d'une douzaine de Gounds, arrivèrent

Aucun étranger ne l'a visité? Aucun... répondit le Gound, si ce n'est une femme. Une femme? répliqua vivement Balao Rao. Oui, une femme, qui, depuis trois ans environ, erre dans la vallée de la Nerbudda. Quelle est cette femme? Ce qu'elle est, je l'ignore, répondit le Gound. D'où elle vient, je ne puis le dire, et, dans toute la vallée, personne n'en sait plus que moi sur son compte!

Il mourait de faim et de fatigue. Toute sa vie se concentrait alors dans ses yeux, qui brillaient dans l'ombre comme des prunelles de tigre. L'Indou, sans faire un mouvement, attendait qu'il convînt au nabab de parler. Cet homme, c'était Balao Rao, le propre frère de Nana Sahib.

Lorsque le Nana, refait par ce repas hâtivement dévoré, eut recouvré ses forces, il resta, pendant quelque temps, la tête appuyée dans ses mains. Balao Rao, pensant qu'il voulait se remettre par quelques heures de sommeil, gardait toujours le silence.