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Mis à jour: 29 juin 2025


La nuit venue, Nana Sahib et Balao Rao se hasardaient

Il mourait de faim et de fatigue. Toute sa vie se concentrait alors dans ses yeux, qui brillaient dans l'ombre comme des prunelles de tigre. L'Indou, sans faire un mouvement, attendait qu'il convînt au nabab de parler. Cet homme, c'était Balao Rao, le propre frère de Nana Sahib.

Nana Sahib vivant!...» Oui, le nabab lui-même, l'ancien chef de la révolte des Cipayes, l'implacable ennemi de Munro! Mais qui avait donc succombé dans la rencontre au pâl de Tandît? C'était Balao Rao, son frère.

Dandou-Pant! s'écria Balao Rao. ta tête vaut plus que cela! Ce serait

Le Nana, Balao Rao et Kâlagani étaient arrivés. Au brusque détour du défilé, qui fait un coude en cet endroit, se creusait la vallée enrichie par ces chefs-d'oeuvre de l'architecture bouddhique. L

Balao Rao ne savait rien encore de ce qui s'était dit entre le Bengali et son frère. Ce ne fut qu'aux abords du pâl de Tandît, pendant que les chevaux soufflaient un instant, que Nana Sahib se borna

Nana Sahib et Balao Rao, accompagnés d'une douzaine de Gounds, arrivèrent

Fausses obsèques, pour donner le changeLe faquir n'avait pas sourcillé en entendant affirmer ce dernier fait d'une façon qui n'admettait aucun doute. Cependant, son front se plissa involontairement, lorsqu'il entendit un Indou, l'un des plus surexcités du groupe auquel il s'était mêlé, donner les détails suivants, détails trop précis pour ne pas être véridiques: «Ce qui est certain, disait l'Indou, c'est qu'en 1859, le nabab s'était réfugié avec son frère Balao Rao et l'ex-rajah de Gonda, Debi-Bux-Singh, dans un camp, au pied d'une des montagnes du Népaul. L

«Enfin, il y a quatre mois, dit Nana Sahib, mon frère Balao Rao est tombé sous les balles anglaises dirigées contre moi... et mon frère n'est pas encore vengé! À mort! À mortCes cris éclatèrent avec plus de violence, celle fois, et toute la bande fit un mouvement pour se ruer sur le prisonnier. «Silence! s'écria Nana Sahib. Attendez l'heure de la justiceTous se turent.

Et Dandou-Pant?... demanda Balao Rao, qui saisit la main de son frère. Dandou-Pant, répondit le Nana, ne sera pas seulement le Peïschwah couronné au château-fort de Bilhour! Ce sera alors le souverain de la terre sacrée des IndesCela dit, Nana Sahib, les bras croisés, le regard vague de ceux qui observent, non plus le passé ou le présent, mais l'avenir, resta silencieux.

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