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Le prince de Condé, avec sa petite armée, campait dans le pays de Bade, parmi les Autrichiens qui d'ailleurs le tenaient en défiance, affectaient de ne pas l'employer et manifestaient si visiblement l'intention de ne pas garder ses troupes

»Mais M. de Villars l'aimait. Et qui ne l'aimerait? M. de Villars le chargea de porter au roi la nouvelle de la défaite du duc de Bade. Le duc d'Anjou le vit et le voulut pour page. Quand il fut page, en voici bien d'une autre! les dames de la Dauphine se battirent pour l'amour de lui, le matin et le soir. On le congédia.

L'oeil de Patou brilla. J'ai lu, la nuit derniere, le plus etonnant de tous les livres, prononca-t-il a voix basse: la Legende de la goule Addhema et du vampire de Szandor, imprimee a Bade, en 1736, par le professeur Hans Spurzheim, docteur de l'Universite de Presbourg... L'oupire Addhema prenait la vie de ses victimes au marc le franc, pour ainsi dire, vivant une heure pour chacune de leurs annees, et courant sans cesse le monde, afin de rassembler des tresors au roi des morts-vivants, le comte Szandor, qu'elle aime d'une adoration maudite, et qui lui vend chaque baiser au prix d'un monceau d'or.

Il y en avait d'abord huit, attelées de six chevaux. Les premières contenaient des dames du palais, des chambellans, des officiers de la maison de l'empereur et de l'impératrice, des dames d'honneur de la grande-duchesse de Bade, chargée de représenter la marraine.

A Bade, nous commençâmes

Dans le pays de Bade, les soirs sont si lourds, les noires forêts font glisser vers la ville, Comme un acide fleuve, invisible et tranquille, L'amère exhalaison du végétal amour, Que de fois j'ai rêvé sur la terrasse, inerte, Ecoutant les volets s'ouvrir sur la fraîcheur, Dans ces secrets instants les fleurs se concertent Pour donner

Pourquoi Bade plutôt qu'ailleurs?

Le moment est venu, tout juste: je cours au chemin de fer de l'Est, j'écris aux chemins de fer allemands, j'écris au grand-duc de Bade. Hélas! nous ne partirons pas de Bade!

Seulement, que voulez-vous! Je ne suis pas tranquille... Je la connais bien, mon Alsace; je viens de la traverser encore, pour mes affaires; et nous avons vu, nous autres, ce qui crevait les yeux des généraux, et ce qu'ils ont refusé de voir... Ah! la guerre avec la Prusse, nous la désirions, il y avait longtemps que nous attendions paisiblement de régler cette vieille querelle. Mais ça n'empêchait pas nos relations de bon voisinage avec Bade et avec la Bavière, nous avons tous des parents ou des amis, de l'autre côté du Rhin. Nous pensions qu'ils rêvaient comme nous d'abattre l'orgueil insupportable des Prussiens... Et nous, si calmes, si résolus, voil

Mayence, le 19 septembre. La princesse de Hesse-Darmstadt, son fils le prince héréditaire, et la jeune princesse Willelmine de Bade qu'il vient d'épouser, arrivent demain. Joséphine ne peut dissimuler une vive curiosité de voir cette jeune femme. C'est elle dont M. de Talleyrand parlait