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Mis à jour: 14 juin 2025


Babet disait avec conviction qu'il me ressemblait; la sage-femme trouvait qu'il avait les yeux de sa mère; moi je ne savais pas, j'étais ému jusqu'aux larmes, j'embrassai le cher petit comme du pain, croyant encore embrasser Babet. Je posai l'enfant sur le lit. Il poussait des cris continus qui nous semblaient être une musique céleste.

J'embrassai doucement Babet sur les lèvres. Elle ouvrit les yeux, me sourit, sans parler. J'avais des envies folles de la prendre dans mes bras, de la serrer contre mon coeur; mais, depuis quelque temps, j'osais

L'offre, en effet, m'était avantageuse; mais je regrettais de quitter la bonne Valbouillant, la petite Babet, le père de famille même; ils m'aimaient tant, ils m'avaient procuré des plaisirs si vifs, si variés... J'allai donc leur montrer la lettre, m'en remettant

Babet, effrayée, se souleva, regardant l'oncle Lazare. Je me mis

Cependant Mme Valbouillant et Babet s'étant adossées l'une

L'eau montait; les voix rauques de la Durance nous appelaient avec colère. Alors, j'éclatai en sanglots, je pris Babet entre mes bras frémissants, je suppliai Jacques de venir près de nous. Je voulais que nous mourions tous dans une même étreinte. Jacques s'était remis

Il fut bien surpris, en tournant le coin de la rue, de voir toutes les fenêtres fermées. Il entra cependant. La première personne qu'aperçut Tony fut la grincheuse Babet, qui le regarda de travers. Ah! vous voil

Cette fois, je pris de l'eau dans mes deux mains, me hâtant de les porter aux lèvres de Babet. Elle but, et je sentis le baiser tiède de sa bouche, qui remonta le long de mes bras jusque dans ma poitrine, qu'il emplit de chaleur. Oh! que mon oncle doit dormir! me disais-je tout bas.

Un matin de septembre, vers six heures, j'entrai dans la chambre de ma chère Babet qui sommeillait encore. Son visage souriant reposait paisiblement sur la toile blanche de l'oreiller. Je me penchai, retenant mon souffle. Le ciel me comblait de ses biens. Je songeai tout

Mme Valbouillant et Babet, qui étaient survenues pendant le combat, pour ne pas rester oisives, s'étaient armées des suppléments, dont elles s'obligeaient réciproquement, en se réglant sur les mouvements du groupe principal.

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