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Mis à jour: 5 juin 2025
«Mais aussitôt que Bali eut accordé les trois pas de terre au mendiant, le nain se développa dans une forme prodigieuse, et le Dieu-aux-trois-pas s'empara de tous les mondes en trois pas. Du premier pas, noble Raghouide, il franchit toute la terre; au deuxième, tout l'immortel espace atmosphérique; et, du troisième, il mesura tout le ciel austral. C'est ainsi que Vishnou réduisit le démon Bali
«Autrefois Bâli transperça d'une flèche trois palmiers d'un seul coup dans les sept que voici, répondit le singe
Lakshmana vit alors toute cette Kishkindhyâ, que Bâli seule naguère suffisait
Cependant Râma voyait Bâli rompre la fierté de Sougrîva et lui abattre même sa vigueur; il en fut irrité d'une furieuse colère. Il encoche soudain une flèche, qui semblait un serpent de flamme et l'envoie frapper au coeur Bâli
«Commence par écouter, répondit Sougrîva, quel est le courage, l'énergie, la vigueur, la fermeté de Bâli, et décide ensuite ce qui est opportun. Avant que le soleil ne soit levé, Bâli, secouant déj
Hanoûmat reçoit vingt, Nîla dix et Gavâksha vingt-cinq flèches; il frappe Çakradjânou avec cinq, Dwivida avec six, Panasa avec dix, Koumouda avec quinze et Djâmbavat avec sept traits. Il déchire Angada, le fils de Bâli, avec quatre-vingts flèches et perce Çarabba d'un seul trait dans la poitrine.
«Après qu'il a perdu, et Djatâyou, et Bâli, et Daçaratha lui-même, ce rapt de Sîtâ jette encore ici les singes dans un affreux péril. Heureux ce roi des vautours qui tomba sous les coups de Râvana, en déployant sa vaillance pour la cause de Râma!»
À la vue de Gavâksha, de Çarabha, de Nîla et du robuste Koumouda, qui s'enfuyaient, oublieux de leur vaillance, de leurs familles et d'eux-mêmes, le fils de Bâli, Angada, leur jeta ces paroles: «Où allez-vous, tremblants comme des singes vulgaires? Vous courez l
À ces belles paroles que les chefs des simiens adressaient au prince héréditaire, Djâmbavat aux longs bras passe les quadrumanes en revue dans sa pensée et répond, orateur disert, au fils de Bâli: «Prince des singes, je connais le héros quadrumane qui peut franchir cent yodjanas et revenir couronné du succès.»
Le noble Raghouide, accompagné de son frère et des ministres, s'en vint lui-même trouver Sougrîva dans cette retraite; et, quand le singe infortuné vit Râma en sa présence avec Lakshmana et ses conseillers, il tint ce langage, baissant la tête et plein de honte: «Après que tu m'as fait admirer ta force et que tu m'as dit: «Provoque Bâli au combat!» pourquoi donc as-tu mis ta promesse en oubli et m'as-tu laissé battre ainsi par mon ennemi?
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