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Mis à jour: 26 juin 2025
Mir-Ibrahim dit: «Que faut-il faire, mon fils? Comment aurons-nous les neuf cents moutons?» Ayvaz continua et chanta: Improvisation. «Renvoyez-le; envoyez-le où nul oeil ne pourra le voir. Que pas un hôte, pas un voisin ne s'aperçoive de sa venue. Qu'on ne le voie pas même dans le sommeil! un homme de cette apparence ne peut être, croyez-moi, ne peut être un berger. Le nom d'Ayvaz est attaché
Kourroglou ordonna qu'on servit un repas. Ayvaz fut nommé chef des échansons; le vin coula, les mets tombèrent comme la pluie, et toute la bande festoya ensemble.
Ayvaz eut rejoint Kourroglou en un moment, et, le prenant par les mains, il le supplia, en disant: «Je t'en conjure, mon oncle, ne sois pas fâché, et reviens.» Kourroglou, faisant semblant de s'adoucir, revint, et s'assit
Ayvaz alors pleura et dit: «Je ne puis m'en défendre, viens, père, allons. Oui, allons, mon enfant, nôtre ami Roushan-Beg empêchera bien que tu sois arrêté aux portes de la ville. Nous allons aussi prendre un esclave avec nous.»
Je t'ai séparé de ton vieux père; Ayvaz, ne pleure pas.» Ayvaz chanta ainsi: Improvisation. «Tu as rempli les sacs avec l'argent; tu as déchiré le fond de mon coeur; tu as courbé sous le chagrin le dos de mon père. Comment puis-je m'empêcher de pleurer, ô Kourroglou? Kourroglou chanta: Improvisation. «Ne suis-je pas Beg, ne suis-je pas Khan? Ne serai-je pas pour toi un père, un tendre parent?
Ne crie pas, ne pleure pas, Ayvaz.» Ayvaz chanta alors: Improvisation. «Mes fleurs, je vous ai laissées dans le jardin! J'ai laissé derrière moi des beautés dont la ceinture mérite d'être embrassée, j'ai laissé derrière moi mon nom et ma famille! Comment puis-je retenir mes larmes, ô Kourroglou?»
Mir-Ibrahim pria Kourroglou de rester avec Ayvaz pendant qu'il irait chercher l'argent. Quand ils se trouvèrent seuls, Ayvaz s'assit sur un siège plus élevé que Kourroglou; Ayvaz se leva et prit dans une niche une bouteille et un verre qu'il plaça devant lui, et alors, relevant ses manches jusqu'au coude, il remplit son gobelet de vin et le vida. Kourroglou n'avait pas bu de vin depuis quelque temps; son coeur battait avec violence; il contemplait tendrement l'heureux buveur, et se léchait les lèvres. Ayvaz dit: «Roushan, mon oncle, pourquoi lèches-tu ainsi tes lèvres?» Kourroglou répliqua: «Que je devienne ton esclave! O phénix du paradis! quelle est cette liqueur rouge que tu bois?» Ayvaz dit: «N'en as-tu encore jamais vu, mon oncle? Cela s'appelle du vin.» Kourroglou reprit: «Mon fils, mon petit-fils, remplis-en un verre pour moi, et laisse-moi le boire.» Ayvaz dit alors: «Ce breuvage a cette mauvaise qualité, qu'il rend fous ceux qui en boivent. Comment cela?» Ayvaz répliqua: «Donnez-en seulement une once
Pour Kourroglou, son bonnet ne remua pas de dessus sa tête; il ne regarda pas même en arrière, comme s'il ne fût rien arrivé d'extraordinaire, et il s'en alla tranquillement avec Ayvaz.
Ayvaz, voyant qu'il ne restait plus de viande dans la boutique, crut d'abord qu'elle avait été vendue; mais quand il regarda dans la bourse, il n'y trouva que douze piastres, et dit: «Berger, puisse ta maison s'écrouler!» et alors il se mit
Kourroglou lia donc Reyhan avec une corde sur sa jument, et, ayant remonté sur Kyrat, il conduisit la jument avec une corde. Il plaça Ayvaz derrière lui, et ils arrivèrent ainsi
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