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Mis à jour: 29 juin 2025
Quand, plus tard, après d'immenses efforts, la lutte semblait indécise, il eût été habile de fonder les calculs de la politique sur le mariage du prince des Asturies avec Isabelle. D'abord le prince de Metternich en a rejeté la proposition avec indignation, tandis que, plus tard, il l'a fait revivre avec ardeur, mais sans succès.
Il est facile de concevoir l'effet que la capitulation de Baylen produisit sur l'esprit d'un peuple orgueilleux et aussi exalté que le peuple espagnol!... L'insurrection prit un immense développement. En vain le maréchal Bessières avait-il battu l'armée des Asturies dans les plaines de Miranda de Rio-Seco; rien ne pouvait arrêter l'incendie.
»Le roi de Naples est fort vif, et il l'était encore davantage étant enfant: il lui fallait des plaisirs pour absorber tous ses moments; son gouverneur lui chercha de nouvelles récréations et voulut en même temps le corriger d'une trop grande douceur et d'une bonté qui faisaient le fond de son caractère. San-Nicandro savait qu'un des plus grands plaisirs du prince des Asturies, aujourd'hui roi d'Espagne, était d'écorcher des lapins; il inspira
Le roi. Ah, oui! je les ai lues. Vous avez bien raison, mon cher comte, de dire le fils de don Carlos. Bien souvent on dit, nos propres agents disent quelquefois le prince des Asturies. Je l'ai vu dans des lettres de M. de Flahault et de Philippe de Chabot. Expression parfaitement fausse. Il n'est point prince des Asturies. L'appeler ainsi, c'est dire que son père est roi. Il est l'infant Charles-Louis. C'est de Vienne que ce langage: prince des Asturies, est venu. Vous-mêmes pourtant vous n'avez point reconnu don Carlos roi, pas plus qu'Isabelle reine. Vous avez donc bien raison de dire le fils de don Carlos. Quant au fond, vous savez, mon cher comte, tout le cas que je fais de l'esprit du prince de Metternich, mon respect pour son grand jugement, sa grande expérience; mais vraiment, je vous l'ai déj
En effet, depuis le départ de Madrid, le prince des Asturies était tout changé: soit par ce qu'il avait vu en chemin, soit par ce qu'on lui avait dit, il s'était cru le plus fort, et cependant il ne négligeait pas les petits moyens, comme on le verra bientôt.
Le prince des Asturies, de son côté, ne voulait y voir qu'une trahison du prince de la Paix, parce que l'opinion la plus générale l'accusait de nous être vendu.
Les personnes attachées au prince des Asturies y virent un moyen employé par Napoléon pour en imposer au prince de la Paix, que l'on supposait porté
Baïonne, le 16 avril 1808. Lettre de S. M. l'empereur au prince des Asturies.
Malgré tout, le Roi allait partir le 16 mars au matin, lorsqu'une émeute populaire, soutenue par les troupes, et surtout par les gardes du corps, ennemis de Godoy et dévoués au prince des Asturies, vint s'opposer au départ de la famille royale. Charles IV, comprenant la vérité, déclare alors qu'il ne partira pas. Une proclamation, publiée dans ce sens, parut calmer la multitude; mais, pendant la nuit, la garnison et une partie de la population de Madrid s'étant rendues
Ce dernier coup de vigueur rendit une nouvelle autorité au prince de la Paix, mais il ne lui ramena pas l'opinion publique, qui s'attacha tout entière au prince des Asturies, que l'on considéra comme sa victime.
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