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Mis à jour: 26 juin 2025
En avril 1850, Schumann termina la musique des deux dernières scènes de Faust. Il avait alors réuni les divers épisodes, choisis par lui, tels qu'ils se succèdent dans l'ordre de la tragédie: 1º Scène du jardin, 2º Marguerite devant l'image des sept douleurs, 3º Scène de l'église, 4º Lever du soleil, Ariel, et réveil de Faust, 5º Minuit; les quatre sorcières, 6º Mort de Faust.
As-tu donc oublié l'affreuse sorcière Sycorax, que la vieillesse et l'envie avaient courbée en cerceau? l'as-tu oubliée? ARIEL. Non, seigneur. PROSPERO. Tu l'as oubliée. Où était-elle née? Parle, dis-le moi. ARIEL. Dans Alger, seigneur. PROSPERO. Oui vraiment? Je suis obligé de te rappeler une fois par mois ce que tu as été et ce que tu oublies.
Mais le jour va paraître et toute la théorie légère s'écrie: «Ah!... voyez..... C'est le jour nouveau». Les trompettes sonnent. Quelle aube éblouissante! Quel cri strident est celui d'Ariel annonçant le réveil de la nature! L'orchestre, avec ses trémolos, introduits avec une certaine discrétion dans les œuvres de Schumann, et l'appel des trompettes, s'épanouit avec une ampleur magistrale. Puis, dans une phrase courte, qui a toute la grâce d'un lied printanier, Ariel engage les Sylphes
Et la reine aux yeux bleus tranquillise le grand poëte, et les annales des trois royaumes se déroulent aux yeux du peuple anglais; la féerie est encore de l'histoire. Posez-vous sur le coeur de nos vierges, esprit du gentil Ariel! que le malin Puck assiste
ARIEL. Oui, Caliban, son fils. PROSPERO. C'est ce que je dis, imbécile; c'est lui, ce Caliban que je tiens maintenant
ARIEL. Je te remercie, mon maître. PROSPERO. Si tu murmures encore, je fendrai un chêne, je te chevillerai dans ses noueuses entrailles, et t'y laisserai hurler douze hivers. ARIEL. Pardon, maître; je me conformerai
ARIEL. Jusqu'au plus petit détail. J'ai abordé le vaisseau du roi, et tour
CALIBAN. Je remercie mon noble maître. Te plaît-il d'ouïr encore la prière que je t'ai faite? STEPHANO. Oui-da, j'y consens. A genoux, et répète-la. Je resterai debout, et Trinculo aussi. CALIBAN. Comme je te l'ai dit tantôt, je suis sujet d'un tyran, d'un sorcier qui par ses fraudes m'a volé cette île. ARIEL. Tu mens.
Je suis de ce nombre: mon nom est Ariel: je te protege & je veille sur toi. Veille sur toi, fille chaste; ni ma vigilance ni mes soins ne peuvent te soustraire aux arrêts du Destin; sois donc toi-même attentive, & surtout garde-toi de l'Homme.
Je suis fâché de t'avoir battu; mais, tant que tu vivras, tâche ne n'avoir dans ta tête qu'une bonne langue. CALIBAN. Dans moins d'une demi-heure il sera endormi: veux-tu l'exterminer alors? STEPHANO. Oui, sur mon honneur! ARIEL. Je dirai cela
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