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Vous trouverez ensuite dans le saint livre ces détails amusants de conte oriental: l'ogre Aman obtenant de son maître, qui ne sait point qu'Esther est juive, l'arrêt d'extermination de tous les juifs, parce que Mardochée a refusé de se prosterner devant Aman; le naïf quiproquo qui fait qu'Aman est obligé, sur ses propres paroles, de conduire le triomphe de son ennemi Mardochée; puis le banquet dans les jardins de la reine, etc.

Assuérus rentre, et, voyant Aman porter ses mains sur son épouse, croit ou affecte de croire

Les parvenus, favoris de la fortune, seront éternellement irrités, comme Aman, contre ces sévères Mardochées qui viennent s'asseoir, couverts de cendre, sur les degrés de leurs palais, refusant seuls de les adorer, et les forçant parfois de descendre de leur cheval et de tenir en main la bride du leur.

S'il les aime!... Aëlian et Aman, les deux chefs de la première Bagaudie, suppliciés, il y a près de deux cents ans, dans un vieux château romain, près Paris, au confluent de la Seine et de la Marne, Aëlian et Aman sont encore aujourd'hui regardés par le peuple de ces contrées comme des martyrs! Ah! c'est un beau sort que le leur!

Or, M. Michèle Aman essaie de démontrer,

Cette Esther, qui a puisé ses jours dans la race proscrite par Aman, avait aussi sa ressemblance avec Mme de Maintenon née protestante.

Ne gni tubabulengo. Ouory a sota abé. Moun nté a blo sounia da foula Mousso ni ouory. Aman ke fen nté. Vends-la moi. Mais c'est ma femme, elle est mariée. Ça ne fait rien. Je te donnerai cinquante pièces de guinéeAh! ces Européens rouges Ils ont tous de l'argent. Dans l'oeil il avait aussi Ma fille aînée. «Est-ce ton enfant? me demande-t-il Oui, elle va se marier dans un mois. Ça ne fait rien.

De ce chevestre fut pendu Aman tant riche tant puissant Pour ce qu'il avoit pretendu A faire destruit & perdu Le peuple juif paravant Dont hester qui vertu eut tant Le fist d'accidant estrangler Et mardocheus honnorer

Le second acte, très-faible d'intérêt tragique, n'est rempli que par des conversations entre Assuérus, son confident Hydaspe et son ministre Aman, conversations dans lesquelles Assuérus apprend que le Juif Mardochée lui a sauvé la vie en lui révélant une conjuration de ses sujets contre sa personne. Esther, suivie de ses compagnes, paraît

Et vous lirez enfin la vengeance d'Esther. Aman pendu ne lui suffit pas. Elle exige que l'on pende les dix fils d'Aman. Puis elle obtient du roi des lettres qui donnent aux Juifs la permission de massacrer leurs ennemis y compris les femmes et les petits enfants, et de piller leurs biens. Et ces lettres sont portées dans les villes par des courriers montés sur des chevaux et des mulets. À Suze les Juifs tuèrent cinq cents hommes. Esther demande un nouveau massacre. Et les Juifs tuèrent encore dans Suze trois cents hommes. «Mais ils ne mirent pas la main au pillageEt dans les provinces «les Juifs tuèrent soixante-quinze mille de ceux qui leur étaient hostiles. Mais ils ne mirent pas la main au pillage». (Le saint rédacteur, qui a l'âme délicate, tient beaucoup