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Mis à jour: 8 juin 2025
J'acceptai l'offre qui m'était faite, et nous allâmes prendre possession de la case du Tinguianès. J'étais de premier quart, et mon pauvre Alila, un peu rassuré, s'endormit profondément. Bientôt je l'imitai, et nous ne nous éveillâmes qu'au grand jour.
Mon guide et mon lieutenant eurent bientôt fabriqué un petit radeau de bambous. Le radeau construit, nous nous embarquâmes, Alila et moi, notre guide refusant de nous accompagner.
Je lui présentai un sabre tagal sur lequel était écrit en gros caractères espagnols: No me sacas sin rason ni me envainas sin honor, Ne me tire pas sans raison, et ne me remets pas dans le fourreau sans honneur.» Je traduisis cette légende en langage tagaloc; Alila la trouva sublime, et jura de ne pas s'en écarter.
Alila était mon meilleur coureur, il avait toute la légèreté du cerf; aussi lui dis-je: «Pars, Alila, et, mort ou vif, amène-moi ce fuyard.» Mon brave lieutenant, pour moins d'embarras dans sa course, nous laissa son fusil, prit une lance, et partit.
Mais Alila était brave, et, quoiqu'il n'eût pas d'anten-anten, une arme
Ce petit sermon réconforta mon Alila, qui se mit
Alila, qui savait que je n'avais pas d'arme
J'avais fait environ une centaine de pas, lorsque j'entendis sortir d'un arbre auprès duquel je passais ces mots timidement prononcés: « Je suis ici, maître!» C'était Alila. Je m'approchai, et vis mon lieutenant blotti derrière le tronc de l'arbre, et tremblant comme une de ses feuilles. « Que t'est-il donc arrivé? lui demandai-je, et que fais-tu l
Vers les deux heures de la nuit je fus réveillé par une voix déchirante, et je sentis au même instant que quelqu'un passait par-dessus moi en poussant des cris qui retentirent bientôt en dehors de la cabane. Je portai aussitôt la main du côté où était couché Alila; sa place était vide, la lampe était éteinte, l'obscurité complète... Cela m'inquiéta.
Mon fidèle Alila se retira avec moi dans une des cases de bas étage pour passer la nuit, ainsi que nous avions coutume de le faire depuis notre séjour chez les Tinguianès. Pour plus de sûreté, nous avions pris l'habitude de veiller mutuellement l'un sur l'autre: jamais nous ne dormions tous les deux
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