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Mis à jour: 11 octobre 2025
Oh! ma vie, ma vie, ce n'est rien, dit la dame. C'est tout, au contraire, madame, répondit Remy, lorsque la vie a un but. Eh bien, que proposez-vous alors? Pensez et agissez pour moi, Remy; vous savez que ma pensée,
Je vous disais hier: Faites du tapage, agissez, criez.... Il est impossible que votre père soit seul coupable, attaquez M. de Thaller.... Aujourd'hui, après mûre délibération, je vous dis: Taisez-vous, cachez-vous, laisser tomber le scandale.... Un sourire amer crispa la lèvre de Maxence. Ce n'est pas un conseil de brave que vous me donnez, dit-il. C'est le conseil d'un ami.... Cependant....
Alors, au nom du ciel, basez votre opinion, je ne demande que cela! Prouvez que je m'égare, que je suis un imbécile, un idiot, ce que vous voudrez, enfin! et toute ma vie, je vous en serai reconnaissant. Il est toujours facile de prouver la bonté de votre cœur, répondit M. des Jonchères, ému par le ton et les paroles de M. de Monvoy, car vous agissez avec humanité et prudence.
L'amortissement de un pour cent est donc trop faible; il faut un amortissement plus considérable pour atteindre les deux buts légitimes de l'amortissement, le soutien du crédit public et l'extinction de la dette. Si vous ne vous imposez pas la loi d'atteindre ce double but, vous vous trompez vous-mêmes, vous trompez vos créanciers, vous agissez avec une imprévoyance coupable, vous marchez vers la banqueroute; si vous voulez atteindre le second but, le payement réel ou du moins la réduction notable de la dette, il faut autre chose qu'un amortissement de un pour cent; il faut l'élever au taux de deux pour cent au moins, taux auquel il est aujourd'hui chez nous, addition faite
Que faire? murmurait la pauvre fille, que résoudre?... Il n'y a que vous, monsieur, qui puissiez me donner un conseil... Pendant un bon moment M. de Brévan garda le silence, puis enfin, d'une voix triste: Mon expérience, mademoiselle, prononça-t-il, ne me fournit qu'un conseil: prendre patience. Parlez peu, agissez le moins possible et efforcez-vous de paraître insensible aux outrages.
Mais si vous ne redoutez rien de mon opposition, pourquoi tant d'efforts pour obtenir mon silence? Et si c'est par sympathie pour notre race que vous agissez, pourquoi exiger que j'achète cette position au prix d'une infâme trahison? Sir Henry, je suis chez vous et je ne vous dirai pas les paroles que vous méritez d'entendre. Mais vous comprendrez sans peine qu'après ce qui vient de se passer je ne puis rester davantage sous votre toit ni m'asseoir
Je ne vous écoute pas, parce que vous me demandez une chose impossible; je ne vous écoute pas, parce que vous agissez comme un homme en démence, dit le vieillard; je ne vous écoute pas, parce que vous m'épouvantez.
Vous connaissez ce secret, vous en avez fait usage pour moi. Qui le connaît encore? La reine mère et Mme de Chevreuse. Que feront-elles? Rien, si vous le voulez. Comment cela? Comment vous reconnaîtront-elles, si vous agissez de façon qu'on ne vous reconnaisse pas? C'est vrai. Il y a des difficultés plus graves. Dites, prince. Mon frère est marié; je ne puis prendre la femme de mon frère.
Soit, dit-elle d'un ton radouci, agissez donc
Me prenez-vous pour un enfant, et croyez-vous qu'il suffise de me frotter les lèvres de miel pour me les desserrer? Agissez d'abord, je parlerai après. Le jour où, comme femme, vous aurez pris l'empire nécessaire, non pas sur l'esprit d'Alexandre duc de Florence, mais sur le coeur d'Alexandre votre amant, je vous apprendrai le reste, et vous saurez ce que j'attends.
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