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Alors elle fit la soucieuse. Deux ou trois fois même elle répéta: Il est si bon! Le clerc affectionnait M. Bovary. Mais cette tendresse

Il aimait beaucoup la musique, écrit son beau-frère S.-A. Bers. Il touchait du piano et affectionnait les maîtres classiques. Souvent, avant de se mettre au travail , il s'asseyait au piano. Probablement y trouvait-il l'inspiration. Il accompagnait toujours ma sœur cadette, dont il aimait la voix.

Il affectionnait cependant beaucoup le vieux château il avait passé une partie de son enfance, mais jusqu'

Le soir, Catherine réunissait autour d'elle quelques-unes des personnes de sa cour qu'elle affectionnait le plus. Elle faisait venir ses petits enfans, et l'on jouait

Puisque j'ai parlé des mauvaises nouvelles qui assaillirent l'empereur presque coup sur coup pendant les derniers mois de 1813, il en est une que je ne saurais omettre, tant Sa Majesté en fut péniblement affectée: je veux parler de la mort de M. le comte Louis de Narbonne. De toutes les personnes qui n'avaient pas commencé leur carrière sous les yeux de l'empereur, M. de Narbonne était peut-être celle qu'il affectionnait le plus; et il faut convenir qu'il était impossible de joindre

Oh! que cela ne vous inquiète point, s'écria Mme Coquenard: mon mari a cinq ou six valises, vous choisirez la meilleure; il y en a une surtout qu'il affectionnait dans ses voyages, et qui est grande

Quelques mots encore sur Mathieu de Dombasle écrivain. Son style facile et courant, qui se préoccupe moins de l'élégance que de la netteté, dit bien ce qu'il veut dire et ne manque point d'agrément dans sa simplicité qui le rend intelligible au lecteur le moins lettré. Ces qualités recommandent le Calendrier du Bon Cultivateur, paru pour la première fois en 1821 et que Mathieu de Dombasle affectionnait particulièrement: «C'était sa première publication agricole, dit l'éditeur de la huitième édition; puis il avait trop de foi dans le bon sens des masses pour n'être pas flatté et frappé en même temps du succès d'un livre qui, sans prôneurs, sans aucun patronage, s'était en moins de vingt ans répandu au nombre de plus de vingt mille exemplairesLe Calendrier du Bon Cultivateur forme un gros volume in-12 de plus de 600 pages, rempli d'excellents conseils, d'instructions pratiques, disposées avec méthode et dans l'ordre des saisons, ou mieux des douze mois de l'année. Le livre se termine par une sorte de récit en plusieurs chapitres, ayant pour titre: La richesse du cultivateur ou les secrets de Jean Benoit, et dont nous détacherons quelques passages pour faire connaître la manière de l'auteur. L'histoire de Benoit se lit avec un vif intérêt quoique ne rappelant en rien le roman ou la nouvelle, témoin la façon dont l'auteur raconte le mariage de son héros: «Benoit avait le projet de visiter l'Angleterre parce qu'il avait entendu dire que plusieurs parties de ce royaume sont cultivées avec une grande perfection; mais ayant fait connaissance d'une fille qui était en service chez le même maître que lui, il se détermina

J'allais assez souvent le matin chez la reine, et elle me donnait effectivement des répliques. Elle affectionnait Mérope. Elle ne disait vraiment point mal. Avant mon départ, je lui fis ma visite d'adieux. Elle prit

J'étais ravie de savoir que le château était resté inhabité; ces souvenirs si précieux pour moi me semblaient ainsi plus entiers, plus saintement conservés. Blondeau devait me donner mille précieux renseignements sur les appartements que ma mère avait habités de préférence, sur les promenades qu'elle affectionnait.

Pie V avait dans son oratoire un crucifix d'ivoire qu'il affectionnait particulièrement. Quand il priait, il avait coutume de baiser plusieurs fois les pieds du Christ. Or, un jour, ses ennemis versent du poison sur ces pieds d'ivoire, de manière que le Saint-Père bût la mort,