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Cependant la santé de Mathieu s'altérait de plus en plus. Il avait eu des crises fort douloureuses que sa patiente douceur dissimulait. Il était mieux; on l'espérait guéri lorsque, le vendredi saint de l'année 1826, n'étant pas assez rétabli pour assister aux offices, il sortit de chez lui pour aller, avec sa femme et sa fille,

Le comte Zichy de Vasonykio, d'une famille ancienne et considérable de Hongrie. en 1753, il fut président de la cour aulique de Hongrie et devint plus tard ministre de la guerre . Il mourut en 1826.

Ce tribunal y est modestement resté jusqu'en 1826; il était composé de cinq membres élus par les six corps marchands, et, pendant deux siècles, il a rendu, sans code, sans digeste, sans avocats, une justice sommaire, rapide, gratuite, et qui ne fut jamais suspectée.

Un deuxième résultat est également constaté. Avant la loi modificative du Code, les déclarations du jury, lors même qu'elles déclaraient l'accusé coupable, n'étaient pas sincères: il mutilait les accusations, écartait les circonstances aggravantes et bouleversait la qualification des faits incriminés. En 1826, sur cent accusations admises par le jury, soixante étaient modifiées par le rejet des circonstances aggravantes; ce nombre s'était, successivement élevé jusqu'

M. Tomo Matić, qui a fait une étude spéciale sur les traductions françaises de la Triste ballade , mais qui n'en connaissait que cinq, en cite deux autres, sur l'autorité de M. Skerlitch, dit-il . La première aurait été publiée par le baron Eckstein dans le Catholique en 1826, la seconde par Mme Sw. Belloc dans le Globe en 1827. Vérification faite, M. Matić blâme sévèrement M. Skerlitch de l'avoir induit en erreur, car ces traductions n'existent pas . Nous avons lu et relu l'article qu'il cite; une seule phrase a retenu notre attention; mais il n'y est question que des traductions françaises de poésies serbes en général . En effet, on trouve dans le Catholique de 1826 deux longs articles sur la poésie serbe, et dans le Globe de 1827 plusieurs chants du recueil de Karadjitch, traduits par Mme Sw. Belloc. Du reste, nous en avons déj

En 1826 virent le jour: les Contes populaires allemands de J.-Ch.-A. Musäus, les Ballades et chants populaires de la Provence traduits en prose française par Marie Aycard, les Chants populaires des frontières méridionales de l’Ecosse par sir Walter Scott, traduits par Artaud , ouvrage connu de Mérimée et mentionné très discrètement dans la Guzla.

Le prince Charles de Canino et sa femme vinrent, après leur mariage, voir le roi Joseph en Amérique et restèrent quelque temps auprès de lui. La santé délicate de la reine Julie ne lui permit pas de suivre ses enfants. En 1826, des démarches furent faites auprès du roi de France pour le retour en Europe de Joseph, par le général Belliard, auquel le baron de Damas écrivit le 11 août: Le baron de Damas a l'honneur de prévenir M. le comte Belliard que, d'après la demande qu'il lui a adressée dans sa lettre du 3 de ce mois, il vient, après avoir pris les ordres du roi, d'autoriser le Ministre de Sa Majesté

Dans cette rue, qui tire son nom d'une famille de magistrats, était un théâtre construit en 1791 pour une troupe de chanteurs italiens, auxquels succédèrent en 1797 les acteurs de l'Opéra-Comique. Ceux-ci y attirèrent la foule sous l'Empire et la Restauration jusqu'en 1826, la salle fut détruite pour ouvrir une partie de la rue et de la place de la Bourse.

[454: Après avoir quitté le service militaire en 1800, le comte de Dietrichstein s'était adonné aux lettres. Chambellan, puis conseiller intime de l'Empereur, intendant de la chapelle de la Cour, chargé de la direction des théâtres, il avait renoncé en 1826

Le 24 mars 1826, jour du Vendredi-Saint, malgré les fatigues d'un grave étourdissement qui l'avait frappé dans la rue du Bac, la semaine précédente, le duc Mathieu de Montmorency voulut aller prier au tombeau dressé dans sa paroisse. Il vint