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Mis à jour: 7 juin 2025
Vous vous étonnerez sans doute que le général Masséna mît tant d'obstination
Seulement, je vous l'ai dit, comme ce sont des personnes très pieuses qui dirigent cette oeuvre, vous ne vous étonnerez pas de leurs questions... Et puis enfin... essayez; que risquez-vous? Si les propositions qu'on vous fera vous conviennent, vous les acceptez... si, au contraire, elle vous semblent choquer votre liberté de conscience, vous les refuserez... votre position ne sera pas empirée.
«Vous ne vous étonnerez point que, dans leurs communications officielles, les cabinets de Londres et de Paris n'aient considéré l'intervention que sous le point de vue du progrès de l'insurrection carliste, en laissant entièrement de côté les dangers éventuels qui peuvent résulter d'insurrections révolutionnaires. Nous apprécions ces dangers
Donc, il est convenu que vous ne vous étonnerez pas si je suis un peu exigeant. Je vous le permets; vous savez que la dernière fois, je ne me suis plaint que d'une chose, c'est que vous étiez trop modeste. Allons, dit le capitaine, vous êtes de bonne composition. Attendez que je vous éclaire; il serait fâcheux qu'un brave garçon comme vous se rompît le cou.
Vous vous étonnerez peut-être de voir comprendre la peinture dans la littérature, comme vous vous êtes étonnés au premier moment d'y voir comprendre la musique, Mozart et son chef-d'oeuvre, l'opéra de Don Juan. Vous reviendrez de votre étonnement quand je vous aurai parlé de la peinture comme vous en êtes revenus quand je vous ai parlé de la musique. Est-ce que tous les arts ne sont pas des expressions du sentiment ou de la pensée de l'homme? Est-ce que tous les arts ne sont pas des moyens de communiquer cette pensée ou ce sentiment d'un homme aux autres hommes? Est-ce que tous les arts ne sont pas des langues? Est-ce que les sons, les formes, les couleurs, les notes, la lyre, le ciseau, le pinceau, la toile, le marbre ne sont pas les lettres
Vous ne vous étonnerez pas du mystère avec lequel M. de Mortagne s'informe par moi, son ami, de l'état de madame de Lancry, ajouta-t-il, quand vous saurez que dans l'intérêt de votre maîtresse le nom de M. de Mortagne ne doit pas être prononcé chez elle. Vous ne m'aviez pas caché, madame, ajouta Blondeau, la scène cruelle de votre contrat de mariage; il me parut très-simple que M. de Mortagne s'informât de vos nouvelles par un moyen détourné, d'autant plus qu'il n'était pas alors
Vous vous étonnerez peut-être, madame, de la manière dont se prit le cœur de Valentin. Ce fut, pour ainsi dire, l'ouvrage du hasard. Il avait, durant un hiver, vécu, selon sa coutume, assez follement, mais assez gaiement. L'été venu, comme la cigale, il se trouva au dépourvu. Les uns partaient pour la campagne, les autres allaient en Angleterre ou aux eaux: il y a de ces années de désertion où tout ce qu'on a d'amis disparaît; une bouffée de vent les emporte, et on reste seul tout
Vous comprenez que je n'ai pas été sans rechercher la cause de l'émotion pénible de ma femme, trop visible, non moins que votre mine agitée et mauvaise, et l'air gêné de ma mère, lorsque je suis entré dans le petit salon de la Voglerie. Valderez m'a tout appris. Vous ne vous étonnerez donc pas que je vous prie, madame, de ne plus paraître chez moi.
«Tout nous vient de la liberté que nous avons conquise et fondée sur de bonnes lois. Je suis maître chez moi, et vous ne vous en étonnerez pas quand vous saurez qu'on n'y entend jamais le bruit du tambour, et que, hors le 4 juillet, anniversaire glorieux de notre indépendance, on n'y voit ni soldats, ni uniformes, ni baïonnettes.»
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