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Mis à jour: 19 juin 2025
Ma vue se voila; je crus que l'obscurité se répandait autour de moi; mes pensées devenaient confuses. Il me sembla qu'impuissante et abandonnée, je m'étais couchée sur le lit desséché d'une rivière; j'entendais le bruit de l'eau qui se précipitait des montagnes lointaines; je sentais le torrent avancer; je n'avais pas la volonté de me lever ni la force de me sauver; j'étais étendue, faible et désirant la mort. Une seule idée s'agitait encore en moi: la pensée de Dieu. Elle me fit concevoir une prière; les mots suivants erraient dans mon esprit obscurci, mais je n'avais pas la force de les prononcer: «Mon Dieu! ne vous éloignez pas de moi, car le danger est proche et personne ne peut venir
Je comprends cela, fit le bonhomme. N'est-ce pas, vous comprenez; j'ai besoin d'être seul un moment. Mais ne vous éloignez pas; il nous faut causer de cette affaire longuement. Veuillez donc passer dans mon cabinet, il doit encore y avoir du feu; je vous rejoins
Pour vous, madame, vous auriez dans votre famille moins de bonheur, mais moins de craintes; et vous rempliriez la douce intention de la nature, en reposant votre affection tout entière sur vos enfans, sur ces amis qui doivent nous survivre. Acceptez cet avenir, madame; éloignez de vous les chimères qui troublent votre destinée; elle sera bien plus malheureuse, si vous avez
Maria Nicolaevna jeta sur lui un regard pénétrant. Maintenant tout est en ordre, dit-elle en remettant son chapeau... Pourquoi restez-vous debout? Asseyez-vous ici... Non.. attendez!... Ne vous éloignez pas... Qu'est-ce qu'on entend? Un bruit sourd roula par-dessus les cimes des arbres, ébranlant l'air dans le bois. Est-ce possible? Le tonnerre? On dirait, en effet, que c'est le tonnerre...
Ce que je vous demande est hardi, mais il faut y consentir: éloignez monsieur
Mais toujours, chère amie, le vrai ciel nous reste. Puisqu'il dépend de nous d'y aller, pourquoi seriez-vous triste? Je vous en prie, éloignez la mélancolie. Cette friande vit de ce qu'il y a de plus exquis dans l'âme, et nous laisse toujours un peu faibles. Je l'entends de la mélancolie poétique et séduisante, non de la tristesse grave et chrétienne.
BERTRAND. Changez, changez d'opinion. Ne soyez pas si saintement cruelle: l'amour est saint, et jamais ma sincérité ne connut l'artifice dont vous accusez les hommes. Ne vous éloignez plus, mais rendez-vous au désir de mon coeur, qui se ranimera alors. Dites que vous êtes
Le poëte, pour compléter ses tableaux, aurait parlé prophétiquement de la découverte du Nouveau-Monde: «O Destins, hâtez-vous d'amener ce grand jour qui... qui...; mais non, Destins, éloignez ce jour funeste, et, s'il se peut, qu'il n'arrive jamais!» Et il aurait flétri les horreurs qui suivirent la conquête.
Attendez donc, l'abbé, répondit d'Harmental; c'est qu'il me semble reconnaître... mais oui, le diable m'emporte! c'est lui-même! Vous ne vous éloignez pas d'ici, messieurs? Non, pas pour mon compte, du moins, dit Pompadour. Ni moi, dit Valef. Ni moi, dit Malezieux. Ni moi, dit l'abbé. Eh bien! en ce cas, je vous rejoins dans un instant. Où allez-vous? demanda Brigaud.
YORK. Seconde-moi donc, cher Warwick, et j'en vais prendre possession; car nous ne sommes entrés ici que par la force. NORFOLK. Nous vous seconderons tous. Périsse le premier qui recule! YORK. Je vous remercie, noble Norfolk! Ne vous éloignez point, milords. Et vous, soldats, demeurez, et passez ici la nuit.
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