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Mis à jour: 18 mai 2025
Entre les roses pourprées, et les lis d'une blancheur éclatante, dont un tiède zéphyr entretient toujours la fraîcheur, on voit les lièvres et les lapins errer en assurance; et les cerfs lever hardiment leur front superbe, sans craindre que personne vienne leur ôter la vie ou la liberté, tandis qu'ils paissent l'herbe, ou qu'ils reposent en ruminant; et sauter légèrement les daims et les lestes chevreuils qui sont en abondance dans ces beaux lieux.»
J'entendis alors le zéphyr qui disait: Taisez-vous, vous n'êtes que des enfants du Nord. Je veux bien causer un instant avec vous, mais n'ayez pas l'orgueil de vous égaler
«Les ondes me parlent d'amour, et le zéphyr, et les ombres des feuilles, et les oiseaux mélodieux, et les habitants des eaux, et l'herbe et les fleurs de la rive, sont d'accord ensemble pour me convier
Dans un paysage délicieux où, d'un pinceau digne ensemble de Léonard et du Corrége, Gœthe abrite les amours de ce beau nid de Léda, del bel nido di Leda, que Dante n'a pas craint de rappeler au Paradis, Faust écoute avec ravissement le zéphyr qui courbe les roseaux sur le bain des nymphes amoureuses, et, glissant sur les eaux limpides, le frissonnement des ailes du cygne divin. Songe-t-il? est-il éveillé? Faust ne le saurait dire; et ce tableau voluptueux nous laisse, comme
L'autre jour, en passant, je vis dans le vallon Une harpe au rameau d'un arbre suspendue; Le soleil lui versait comme des jets de plomb, Et nul vent ne touchait sa corde détendue. Un silence de mort pesait sur l'étendue, Mais soudain un zéphyr, caché dans un buisson, S'en vint tourbillonner sur la harpe éperdue, Et l'instrument divin rendit encore un son.
«Je voudrais être le zéphyr pour avoir le droit d'envoyer un baiser
Ah! la belle chose qu'un bon cheval! Ah! la poétique chose! alors que dans une course rapide, le souffle du zéphyr vous fouette la figure comme un vent de tempête! le doux être qu'un coursier soumis, esclave de son frein, calme
Dans le bourg Sainte-Foye, auprès de la barrière S'élevait un logis touré de bouleaux; Sur ses murs crevassés le houblon et le lierre, Ainsi que des serpents déroulaient leurs anneaux. C'était un beau soir d'août. Dans un ciel sans nuages, L'astre du jour lançait sa dernière lueur, Et les oiseaux mêlaient leurs gracieux ramages A la voix du Zéphyr volant de fleur en fleur.
C'était le soir, sous la rosée les champs étaient verts, À chaque brin d'herbe pendaient des perles; Le Zéphyr se jouait autour des fèves, Et emportait avec lui leur parfum; Dans chaque vallon le mauvis chantait, Toute la Nature paraissait écouter, Sauf l
Reste ici, doux zéphyr, disaient-ils, nous sommes fleuris. Les belles roses du parterre dorment encore dans leurs boutons verts. Vois, nous sommes fraîches et riantes, et, si tu nous berces un peu, nous allons répandre des parfums aussi suaves que ceux de notre illustre reine.
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