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Mis à jour: 2 juillet 2025
Yvikel, qui, fort habile en son art, avait plusieurs fois, sur commande, exécuté des ex-voto de ce genre, projetait d'en offrir un au roi.
S'épuisant de travail pour payer soins et remèdes, Yvikel avait résolu de se tuer après le décès de son enfant, qui seule l'attachait
Vers le premier tiers des travaux, un pauvre ouvrier graveur nommé Yvikel, habitant une ruelle obscure et infecte entre toutes, avait vu soudain la brise et le soleil entrer
Pleurant de bonheur, son père la vit reprendre des forces et du teint, tandis que les quintes s'espaçaient. La victoire était complète au moment où s'achevait l'avenue. Dans son délire de joie, Yvikel voulut témoigner par un hommage divin sa reconnaissance au roi, dont l'oeuvre louable était la cause de son ardente félicité.
Or Yvikel, veuf, n'avait au monde que sa fille unique Blandine, adolescente de fragile nature, qui, depuis un an, pâle et secouée par la toux, déclinait de jour en jour, clouée en son lit par la faiblesse.
Touché, Charles III pensionna Yvikel et fit mettre au dos de l'ex-voto l'épître lisible en partie derrière une vitre.
Avec sa meilleure encre, Yvikel, prodigue de temps et de soins, grava sur soie, en s'inspirant de l'original toujours exposé au coeur même du quartier, un plan de Lutèce traversé, en place voulue, par une large sécante puis fit encadrer l'oeuvre pour l'envoyer au roi, expliquant son action dans une lettre enthousiaste, où, non sans en montrer longuement la cause, il relatait la guérison de sa fille.
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