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Mis à jour: 24 juin 2025


Laissez-les passer; que mille diables vous serrent la gorge! mais ne laissez plus passer qui que ce soit! Et qu'aucun de vous ne détache son sabre, et ne se couche par terre... Nos voyageurs n'entendirent pas la suite de cet ordre éloquent. C'est nous, c'est moi, c'est nous-mêmes! disait Yankel

À l'époque se passait cette histoire, il n'y avait encore, sur la frontière, ni employés de la douane, ni inspecteurs (ce terrible épouvantail des hommes entreprenants), et chacun pouvait transporter ce que bon lui semblait. Si, d'ailleurs, quelque individu s'avisait de faire la visite ou l'inspection des marchandises, c'était, la plupart du temps, pour son propre plaisir, surtout lorsque des objets agréables venaient frapper ses regards et que sa main avait un poids et une puissance dignes de respect. Mais les briques n'excitaient l'envie de personne; elles entrèrent donc sans obstacle par la porte principale de la ville. Boulba, de sa cage étroite, pouvait seulement entendre le bruit des chariots et les cris des conducteurs, mais rien de plus. Yankel, sautillant sur son petit cheval couvert de poussière, entra, après avoir fait quelques détours, dans une petite rue étroite et sombre, qui portait en même temps les noms de Boueuse et de Juiverie, parce qu'en effet, c'est l

Oh! impossible, cher seigneur, impossible! dit Yankel avec un soupir. Impossible! dit un autre juif. Les trois juifs se regardèrent en silence. Si l'on essayait pourtant, dit le troisième, en jetant sur les deux autres des regards timides, peut-être, avec l'aide de Dieu...

Yankel, pour toute réponse, vint

Yankel se tourna vers lui, et lui dit que tout serait fait suivant son désir, que son Ostap était enfermé dans la prison de ville et que, quelque difficile qu'il fût de gagner les gardiens, il espérait pourtant lui ménager une entrevue. Boulba entra avec les trois juifs dans une chambre.

Ce juif était le fameux Yankel. Il s'était fait

Qui me demande? dit-il enfin en sortant de sa rêverie. Le juif Yankel était devant lui. Seigneur polkovnik, seigneur polkovnik, disait il d'une voix brève et entrecoupée, comme s'il voulait lui faire part d'une nouvelle importante, j'ai été dans la ville, seigneur polkovnik. Tarass regarda le juif d'un air ébahi: Qui diable t'a mené l

Je vais vous le raconter, dit Yankel. Dès que j'entendis du bruit au lever du soleil et que les Cosaques tirèrent des coups de fusil, je pris mon caftan, et, sans le mettre, je me mis

En traversant le faubourg, Tarass Boulba aperçut son juif Yankel qui avait eu le temps de s'établir sous une tente, et qui vendait des pierres

Fais ce que tu veux, seulement conduis-moi. Et, au bout d'une heure, un chariot chargé de briques et attelé de deux rosses sortait de la ville d'Oumane. Sur l'une d'elles, Yankel était juché, et ses longues tresses bouclées voltigeaient par-dessous sa cape de juif, tandis qu'il sautillait sur sa monture, long comme un poteau de grande route.

Mot du Jour

bornait

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