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Mis à jour: 13 juin 2025


Au portail royal de Chartres, le tympan de gauche représente l'Ascension; les apôtres sont assis sur le linteau inférieur, tous ayant la tête tournée vers Notre-Seigneur, enlevé sur des nuées; quatre anges descendent du ciel vers les apôtres et occupent le deuxième linteau. Dans toutes les sculptures ou peintures du XIe au XVIe siècle, les apôtres sont toujours nu-pieds, quelle que soit d'ailleurs la richesse de leurs costumes; ils ne sont représentés coiffés que vers la fin du XVe siècle. L'exemple que nous avons donné plus haut, tiré du portail méridional d'Amiens (XIIIe siècle), et dans lequel on remarque un de ces apôtres, saint Jacques, la tête couverte d'un chapeau, est peut-être unique. Quant au costume, il se compose invariablement de la robe longue ou tunique non fendue

C'est donc dans le XIe siècle qu'il faut placer la période la plus ancienne de la poésie des troubadours, celle que nous ne connaissons pas, mais que nous pouvons reconstituer par hypothèse, et en nous aidant aussi, comme on l'a fait, de certains refrains qui nous ont été conservés. Un texte célèbre nous prouve que les premiers troubadours avaient peut-être eu conscience des origines de leur art. Il nous est dit que le troubadour gascon Cercamon, qui a vécu dans la première moitié du XIIe siècle, avait composé des pastourelles

=Patinage.= Le patin primitif n'était autre chose qu'une chaussure munie d'un morceau de bois durci au feu; on remplaça ensuite le bois par un os de mâchoire de vache ou de cheval; ce patin était encore en usage au XIe siècle; puis on fixa sous la sandale de bois une lame de métal.

C'est ce tour d'esprit peut-être qui aujourd'hui est, au bon comme au mauvais sens du mot, considéré comme éminemment scolastique. Mais soit qu'il déplaise ou captive, soit qu'on le croie encore applicable ou définitivement stérile, on ne peut disconvenir que l'esprit scolastique n'ait été une des transformations mémorables de cette identité flexible, de cet indestructible Protée qu'on appelle l'esprit humain. Et comme cette forme domine dans Abélard, comme nul monument ne la montre portée au même degré dans aucun autre avant lui, comme nulle renommée ne fut du XIe au XVe siècle supérieure

[Note 132: «Agnei, lucifugi, etc.» M. Psellus. Cet auteur byzantin est du XIe siècle.

Cette ruelle fangeuse et basse datait du XIe siècle, et elle était principalement fréquentée

Le maître qui tenait le sceptre de cette science était Anselme de Laon. dans la première moitié du XIe siècle, après avoir étudié sous Anselme de Cantorbery, il avait commencé

Dans les édifices du XIe au XVIe siècle, les linteaux ne sont généralement employés que pour couvrir de petites ouvertures, et sont alors d'un seul morceau. Dans les édifices civils particulièrement, les fenêtres et les portes sont presque toujours carrées, les liteaux sont hauts, quelquefois taillés en triangle pour mieux résister

Le culte de Beal, au contraire, se célébrait par des feux allumés sur les montagnes. Ce culte a laissé des traces profondes dans les traditions populaires (Toland, XIe lettre, p. 101). Les druides allumaient des feux sur les cairn, la veille du 1er mai, en l'honneur de Beal, Bealan (le soleil). Ce jour garde encore aujourd'hui en Irlande le nom de la Bealteine, c'est-

D'abord, si la poésie lyrique est peu développée pendant le XIe siècle, s'il ne nous en reste que quelques fragments, il s'est conservé jusqu'

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