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Mis à jour: 29 juin 2025
Il semblerait que ces magistrats, élue par les suffrages de leurs égaux, nommés seulement pour une année, responsables et même révocables, dussent avoir peu de prestige et d'autorité. Il suffit pourtant de lire Thucydide et Xénophon pour s'assurer qu'ils étaient respectés et obéis. Il y a toujours eu dans le caractère des anciens, même des Athéniens, une grande facilité
Voyez Xénophon, au dialogue intitulé Hiéron. A Athènes, il y avait un magistrat particulier qui veillait sur la conduite des femmes. Du tribunal domestique chez les Romains.
« L'exilé, dit Xénophon, perd foyer, liberté, patrie, femme, enfants. » Mort, il n'a pas le droit d'être enseveli dans le tombeau de sa famille; car il est un étranger.
Homère et Virgile nous montrent les rois occupés sans cesse de cérémonies sacrées. Nous savons par Démosthènes que les anciens rois de l'Attique faisaient eux-mêmes tous les sacrifices qui étaient prescrits par la religion de la cité, et par Xénophon que les rois de Sparte étaient les chefs de la religion lacédémonienne. Les lucumons étrusques étaient
Xénophon assure que les Athéniens ont plus de fêtes religieuses qu'aucun autre peuple grec. « Que de victimes offertes aux dieux, dit Aristophane, que de temples! que de statues! que de processions sacrées!
[Note 48: Leur indiférence pour le Service divin &c. Xénophon, liv. V. des choses mémorables, raporte un Oracle qui ordonnait que l'on servît les Dieux de la manière que chaque Ville l'auroit prescrit par ses Loix. Platon disoit qu'il étoit dangereux de discourir sagement & raisonnablement devant le Peuple touchant les choses divines. C'est ce qui a fermé la bouche
Note C95: (p. 152). «Lacédémone.» Montesquieu oublie qu'il s'agit ici des lois de la démocratie: or Lacédémone était plutôt une aristocratie. L'opposition que Xénophon établit ici entre Lacédémone et Athènes est précisément l'opposition de l'aristocratie
Valère-Maxime, I, 1, 3. Plutarque, Marcellus, 5. Tite-Live, XXXIX, 39. Velléius, II, 92. Valère-Maxime, III, 8, 3. Denys, IV, 84; V, 19; V, 72; V, 77; VI, 49. Tite-Live, II, 42; II, 43. Platon, Lois, VI. Xénophon, Mém., II. Pollux, VIII, 85, 86, 95. Denys, II, 78. Chez les Grecs et chez les Romains, comme chez les Hindous, la loi fut d'abord une partie de la religion.
Les ouvrages qui exercèrent le plus d'influence sur lui furent: l'Essai sur l'entendement humain de Locke, le Spectateur d'Addison, les Faits mémorables de Socrate par Xénophon. Il les lut avidement, et y chercha des modèles de réflexion, de langage, de discussion. Locke devint son maître dans l'art de penser, Addison dans celui d'écrire, Socrate dans celui d'argumenter. La simplicité élégante, la sobriété substantielle, la gravité fine et la pénétrante clarté du style d'Addison, furent l'objet de sa patiente et heureuse imitation. Une traduction des Lettres provinciales, dont la lecture l'enchanta, acheva de le former
Il laissa une grande quantité d'écrits de tout genre, les uns finis, les autres imparfaits, et dont plusieurs sont inédits, et le seront peut-être toujours. Les principaux ouvrages imprimés sont des traductions latines de la Rhétorique d'Aristote, de deux Traités d'Hippocrate, de plusieurs Vies de Plutarque, de ses Apophtegmes, de la Cyropédie de Xénophon, et deux Harangues de Lysias; ce sont des traités philosophiques, tels que ses Convivia Mediolanensia, ou Banquet de Milan, dialogues faits, comme ceux de Poggio, sur le modèle du Banquet de Platon, où l'auteur introduit plusieurs de ses savants amis, discutant
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