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Mis à jour: 14 juin 2025
Pendant les deux mois qui suivirent leur disparition, Hadjine Elizundo et Xaris, ne reculant jamais devant aucun prix, parvinrent
Tout cela fut dit assez froidement, mais l'important était que cela eût été dit. Henry d'Albaret avait maintenant la parole d'Elizundo, et, en échange, le banquier reçut de sa fille un remerciement qu'il prit avec sa réserve accoutumée. Tout semblait donc aller pour la plus grande satisfaction des deux jeunes gens, et, il faut ajouter, pour le plus parfait contentement de Xaris.
Le sixième jour après la mort d'Elizundo, vers sept heures du soir, Nicolas Starkos, que Xaris attendait
Aussi, ce fut un soulagement pour tous les deux, lorsque Nicolas Starkos, après un entretien dont rien n'avait transpiré, eut quitté la maison et repris le chemin du port. Pendant une heure, Elizundo resta enfermé dans son cabinet. On ne l'y entendait même pas bouger. Mais ses ordres étaient formels: ni sa fille, ni Xaris ne devaient entrer, sans avoir été demandés expressément.
Ainsi en jugea-t-on dans la maison du banquier Elizundo. Hadjine, Henry d'Albaret, Xaris, avaient battu des mains. Leur joie trouva un écho dans toute la ville. C'était l'indépendance que les canons de Navarin venaient d'assurer aux enfants de la Grèce.
Vous pouvez annoncer aux passagers de la Syphanta, ajouta Henry d'Albaret, qu'il sera fait comme ils le désirent. C'est entendu, mon commandant. Mais... ajouta Xaris, en hésitant un peu, c'est que ce n'est pas tout! Parle donc, Xaris, dit la jeune fille. Voici. Ces braves gens, après avoir eu une idée bonne, puis une meilleure, en ont eu une troisième qu'ils regardent comme excellente!
Les passagers de la corvette... ces braves gens que vous ramenez dans leur pays... ont eu une idée, et ils m'ont chargé de vous la communiquer. Eh bien, je vous écoute, Xaris. Voil
Ce que j'ai... ce que j'ai!... Une nouvelle!... Une importante... une grave nouvelle! Parlez!... parlez!... Xaris! dit
Au plus fort de cette horrible mêlée, Xaris se battait comme un lion. Il n'avait pas quitté la dunette. Vingt fois, sa hache, retenue par l'estrope
C'était un Grec, nommé Xaris, un frère de lait de la mère d'Hadjine, qui l'avait suivie après son mariage avec le banquier de Corfou. Il était donc depuis plus de vingt ans dans la maison, occupant une situation au-dessus de celle d'un simple serviteur, aidant même Elizundo, lorsqu'il ne s'agissait que de quelques écritures
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