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Mis à jour: 27 juin 2025


«Vous avez ce soir défié Dieu de vous enlever vos deux victimes avant leur mort? Il vous les enlève», dit monseigneur. Puis, prenant un sac que je portais et qui renfermait vingt-cinq mille francs en or, il le jeta sur le lit de cet homme et ajouta: «Voici qui vous indemnisera de la perte de vos deux esclaves. À votre violence qui tue j'oppose une violence qui sauve, Dieu jugera!...» Et nous disparaissons, laissant M. Willis stupéfait, immobile, se croyant sous l'impression d'un songe. Quelques minutes après, nous avions rejoint le brick et mis

Au reste, M. Théophile Gautier a du malheur avec ses titres; un autre ballet de sa façon, Giselle ou les Willis. excita, dans son temps, les mêmes inquiétudes, sous prétexte que l'ouvrage présentait le spectacle d'un gouvernement

Samedi dernier, l'après-midi, dans les Salons de Willis, M. Selwyn Image a fait la première de quatre conférences sur l'art moderne, devant un auditoire select et distingué.

Puis ce Willis, égaré par la fureur et par l'ivresse, montra le poing au ciel et s'écria en blasphémant: Oui, je défie Dieu de m'enlever mes esclaves avant leur mort!... S'il ne le fait pas, je nie son existence!... C'était un fou stupide!

M. Willis, riche planteur américain de la Floride, dit Murph, avait reconnu dans l'un de ses jeunes esclaves noirs, nommé David, attaché

Cette conduite barbare n'était pas d'ailleurs seulement dictée par la vengeance et par la jalousie. Les Noirs de M. Willis aimaient David avec toute l'ardeur de la reconnaissance: il était pour eux le sauveur du corps et de l'âme. Ils savaient les soins qu'il avait prodigués au colon lors de la maladie de ce dernier... Aussi, sortant par miracle de l'abrutissante apathie l'esclavage plonge ordinairement la créature, ces malheureux témoignèrent vivement leur indignation, ou plutôt de leur douleur, lorsqu'ils virent David déchiré

Avouons toutefois que la lugubre fin de l'auteur d'Eureka suscita quelques consolantes exceptions, sans quoi il faudrait désespérer, et la place ne serait plus tenable. M. Willis, comme je l'ai dit, parla honnêtement, et même avec émotion, des bons rapports qu'il avait toujours eus avec Poe. MM. John Neal et George Graham rappelèrent M. Griswold

Jamais elle n'avait dansé avec les jeunes gens du Pecq, de Carrières, de Chambourcy ou de Maisons, dans ces bals Willis et Choteau qui remplacent, dans les divertissements rustiques de notre époque, la fougère et la coudrette de nos aïeux. Nous jurerions presque qu'elle avait oublié qu'elle était belle.

Le mal faisait d'effrayants progrès... David seul pouvait sauver le colon; mais Willis, méfiant comme tous les scélérats, ne doutait pas que le Noir, pour se venger, ne l'empoisonnât dans une potion... car, après l'avoir battu de verges, on avait jeté David au cachot... Enfin, épouvanté de la marche de la maladie, brisé par la souffrance, pensant que, mourir pour mourir, il avait au moins une chance dans la générosité de son esclave, après de terribles hésitations Willis fit déchaîner David.

M. Willis a publié une petite notice sur Poe; j'en tire le morceau suivant: «La première connaissance que nous eûmes de la retraite de M. Poe dans cette ville nous vint d'un appel qui nous fut fait par une dame qui se présenta

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