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Mis à jour: 26 juillet 2025
Je saluai; une grosse voix sombrée m'arriva de derrière le rideau: c'était la Waïzoro qui me souhaitait la bienvenue. Je pris place
Par cette union, la Waïzoro Manann rétablissait la suzeraineté de sa maison sur un des plus puissants Dedjazmatchs; elle comptait, en outre, se faire un appui de ce prince contre ses propres fils, le Ras Ali et les Dedjadjs Imam et Haïlo, qui cherchaient en grandissant
J'étais désormais en pleine querelle. J'ignorais qu'Oubié s'était grisé dès le matin; mais mon silence n'eût rien amendé. Je répliquai donc selon mes inspirations. La Waïzoro, auteur involontaire de cet éclat, faisait
J'avais accueilli avec joie la perspective d'une nouvelle campagne, mais la façon dont la Waïzoro l'envisageait me communiqua quelques-unes de ses appréhensions.
Nos préparatifs de départ se faisaient en toute hâte; mais l'état de santé de la Waïzoro Sahalou les suspendit tout
La Waïzoro Sahalou avait demandé
En présence de ces graves préoccupations, la mésintelligence entre le Ras Ali et son Fit-worari perdait de son importance. Néanmoins, la Waïzoro Manann, voyant le chagrin de sa fille qui dépérissait de jour en jour, fit proposer au Dedjadj Guoscho de se porter en médiateur entre le Ras et Birro. Le Ras accepta cette médiation, et, de concert avec sa mère, il invita le Dedjadj Guoscho
À mesure que le clerc traduisait ma réponse, le Prince et ses familiers s'entreregardaient. Quand j'eus terminé, le Dedjazmatch inclina légèrement la tête; puis se redressant sur son alga, il donna l'ordre de faire entrer le monde, et il commença l'expédition des affaires avec son calme habituel. Rentré chez moi, je reçus des félicitations de la part de la Waïzoro Sahalou.
Je fus logé dans une grande case située entre la maison du Dedjazmatch et celle de la Waïzoro-Sahalou, sa femme. Cette case avait été construite avec recherche, dans la pensée qu'elle leur servirait de lieu de réunion. La Waïzoro, qui nous avait devancés
Oui certes, et il a tué son premier homme. Eh bien! voyons-le, fit la Waïzoro. Le Lidj Birro, car c'était de lui qu'il s'agissait, se trouvait avec les gens de la suite aux abords de la maison, contemplant de loin, comme il me l'a raconté, l'heureux Tessemma qui, assiégé de courtisans, attendait, lui aussi, la sortie de son père.
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