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Mis à jour: 8 mai 2025


L'étude fondamentale de la vie générale, ainsi caractérisée, ne peut pas même être aujourd'hui regardée comme organisée d'une manière convenablement rationnelle. Car, d'après la leçon précédente, nous avons reconnu que la biotaxie, bien plus avancée que la physiologie proprement dite, ne voit désormais, dans l'organisme végétal, que le dernier degré d'une hiérarchie nécessairement unique, dont les divers rangs principaux diffèrent ordinairement davantage les uns des autres qu'aucun d'eux de ce terme extrême. Il est indispensable qu'une semblable conception dirige habituellement aussi les spéculations physiologiques relatives aux fonctions organiques ou végétatives, uniformément analysées pour l'ensemble des êtres vivans, ce qui, on peut l'affirmer, n'a jamais été tenté jusqu'ici. Tant que cette grande condition philosophique demeure inaccomplie, les études restent nécessairement incomplètes, avec quelque sagesse qu'elles soient d'ailleurs entreprises, et ne peuvent nullement établir aucun point essentiel d'une doctrine physiologique vraiment définitive. On conçoit, en effet, que l'organisme végétal présentant, dans toute leur simplicité, les fonctions dont il s'agit de découvrir les lois fondamentales, dégagées des diverses influences plus ou moins accessoires qui les compliquent toujours,

Les parties génitales ne présentent rien d'anormal. Le crâne est, dans sa partie frontale, étroit et un peu fuyant. Le corps est grand et bien fait. Sauf une diarrhée, on n'a remarqué chez lui aucun trouble des fonctions végétatives.

On ne peut les expliquer qu'en admettant que l'animal est atteint dans le principe de ses mouvements; que son irritabilité brusquement engourdie s'éteint avec lenteur, tandis que les fonctions végétatives, plus tenaces, s'éteignent plus lentement encore et maintiennent, pendant le temps nécessaire aux larves, la conservation des viscères.

Quelquefois je n'avais rien entendu, étant dans un de ces sommeils l'on tombe comme dans un trou duquel on est tout heureux d'être tiré un peu plus tard, lourd, surnourri, digérant tout ce que nous ont apporté, pareilles aux nymphes qui nourrissaient Hercule, ces agiles puissances végétatives,

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cuthbert

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