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Mis à jour: 15 juin 2025
Nicolas Vsévolodovitch fixa soudain ses yeux sur Pierre Stépanovitch. Vous... lui avez parlé? demanda-t-il.
La maison où se rendait Nicolas Vsévolodovitch était située dans un coin perdu, tout
Je regrette de ne pouvoir vous aimer, Chatoff, dit froidement Nicolas Vsévolodovitch. Je sais que cela vous est impossible, vous ne mentez pas.
Sur ce, il embrassa tendrement sa mère. En tout cas, cette affaire est maintenant finie, elle a été racontée, on peut par conséquent parler d'autre chose. Ces derniers mots furent dits par Nicolas Vsévolodovitch d'un ton qui avait quelque chose de sec et de décidé. Barbara Pétrovna le remarqua, mais son exaltation ne tomba point, au contraire. Je ne t'attendais pas avant un mois, Nicolas!
C'est un mensonge et un délire! s'écria Nicolas Vsévolodovitch qui marchait
Comprends-tu quelque chose? demanda avec une dignité hautaine Barbara Pétrovna. Je comprends tout... De quel argent parle-t-elle? Il s'agit sans doute de l'argent que, sur la demande de Nicolas Vsévolodovitch, je me suis chargée d'apporter de Suisse
Durant tous ces préparatifs, Maurice Nikolaïévitch était sombre et soucieux. Par contre, Kiriloff avait l'air parfaitement calme et indifférent. Il remplissait les obligations de son mandat avec le soin le plus minutieux, mais sans trahir la moindre inquiétude; la perspective d'un dénouement fatal ne semblait pas l'émouvoir. Nicolas Vsévolodovitch, plus pâle que de coutume, était assez légèrement vêtu: il portait un paletot et un chapeau de castor blanc. Il paraissait très fatigué, fronçait le sourcil de temps
Vous vous exceptez? laissa échapper malgré lui Nicolas Vsévolodovitch.
Oh! Idiote, fit en grinçant des dents Nicolas Vsévolodovitch qui lui serrait toujours le bras. Hors d'ici, imposteur! ordonna-t-elle, je suis la femme de mon prince, je n'ai pas peur de ton couteau! De mon couteau? Oui, de ton couteau. Tu as un couteau dans ta poche. Tu pensais que je dormais, mais je l'ai vu: quand tu es entré tout
Au mot trois, Gaganoff et Stavroguine se dirigèrent l'un vers l'autre. Le premier leva aussitôt son pistolet, et, après avoir fait cinq ou six pas, tira. Durant une seconde il s'arrêta, puis, convaincu que son adversaire n'avait pas été atteint, il s'approcha rapidement de la barrière. Nicolas Vsévolodovitch s'avança aussi, leva son pistolet, mais fort haut, et tira presque sans viser. Ensuite il prit son mouchoir dont il entoura le petit doigt de sa main droite. Alors seulement on s'aperçut qu'Artémii Pétrovitch n'avait pas tout
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