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VOLUMNIE. Non, ne nous quitte pas ainsi. Si l'objet de notre prière était de te demander de sauver les Romains en détruisant les Volsques que tu sers, tu aurais raison de nous condamner comme des ennemies de ton honneur. Non: notre prière est que tu les réconcilies ensemble; que les Volsques puissent dire: «Nous avons montré cette clémence», les Romains: «Nous l'avons acceptéeet que les deux partis te saluent ensemble en criant: Que les dieux bénissent Coriolan, qui nous a procuré cette paix! Tu sais, mon illustre fils, que l'événement de la guerre est incertain: mais ce qui est certain, c'est que, si tu subjugues Rome, le fruit que tu en recueilleras sera un nom chargé de malédictions répétées; et l'histoire dira de toi: «Ce fut un brave guerrier: mais il a effacé sa gloire par sa dernière action; il a détruit son pays, et son nom ne passa aux générations suivantes que pour en être abhorréRéponds-moi, mon fils; tu as toujours aspiré aux plus sublimes efforts de l'honneur; tu étais jaloux d'imiter les dieux, qui tonnent souvent sur les mortels, mais qui ne déchirent que l'air du bruit de leur tonnerre, et ne font éclater leur foudre que sur un chêne insensible. Pourquoi ne me réponds-tu pas? Penses-tu qu'il soit honorable pour un mortel généreux de se souvenir toujours de l'injure qu'il a reçue? Ma fille, parle-lui. Il ne s'embarrasse pas de tes pleurs. Parle donc, toi, mon enfant; peut-être que ta faiblesse le touchera plus que nos raisons. Il n'est point dans le monde entier de fils plus redevable

7 Le consul Virginius, dans la guerre contre les Volsques, voyant ceux-ci fondre sur lui de loin et en confusion, ordonna

CORIOLAN. Avez-vous vu Aufidius? LARTIUS. Il est venu me trouver sur la foi d'un sauf-conduit, et il a chargé les Volsques d'imprécations, pour avoir si lâchement cédé la ville: il s'est retiré

Oh! laissez-moi! Voulez-vous faire de moi un glaive? Si ces démonstrations ne sont pas une vaine apparence, qui de vous ne vaut pas quatre Volsques? Pas un de vous qui ne puisse opposer au vaillant Aufidius un bouclier aussi ferme que le sien. Je vous rends grâces

La scène est tantôt dans Rome, tantôt dans le territoire des Volsques et des Antiates. La scène est dans une rue de Rome. PREMIER CITOYEN. Avant d'aller plus loin, laissez-moi vous parler. PLUSIEURS CITOYENS parlant

1 Le consul T. Quinctius, ayant vaincu en bataille rangée les Èques et les Volsques, et voulant s'emparer de la ville d'Antium, appela ses troupes

Les avant-postes du camp des Volsques devant Rome. SENTINELLES montant la garde. PREMIER SOLDAT. Halte-l

LE ROMAIN. L'occasion est bonne pour les Volsques. J'ai entendu dire que le moment le plus favorable pour séduire une femme, c'est quand elle est en querelle avec son mari. Votre noble Tullus Aufidius va figurer avec avantage dans cette guerre,

Nos dames l'ont emporté; les Volsques se retirent, et Marcius est parti avec eux. Rome n'a jamais vu de plus heureux jour, non, pas même celui les Tarquins furent chassés? SICINIUS. Ami, es-tu bien certain que ta nouvelle est vraie? En es-tu bien sûr? LE MESSAGER. J'en suis sûr, comme il est sûr que le soleil est un astre de feu. étiez-vous donc caché, pour en douter encore?

LE MESSAGER. Les espions des Volsques m'ont donné la chasse, et j'ai été forcé de faire un détour de trois ou quatre milles: sans quoi, seigneur, je vous aurais apporté cette nouvelle une demie-heure plus tôt. COMINIUS. Quel est ce guerrier l