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Alors le marquis affectait de prendre courage. Que m'importe! disait-il, il m'en restera toujours assez pour vivre: me voil

Ils nous disent tous qu'ils auraient voulu vivre

Duffe s'était montré, dès le commencement de son règne, très-occupé de protéger le peuple contre les malfaiteurs et «personnes oisives qui ne voulaient vivre que sur les biens des autresIl en fit exécuter plusieurs, força les autres

«Très-aimé et féal sujet, nous apprenons avec déplaisir qu'une troupe de trente aventuriers vient de sortir de votre colonie pour vivre de chasse, au grand détriment du gros et du menu gibier de cette province. Nous savons en même temps qu'une troupe d'hyènes, qui s'est introduite dans votre gouvernement, a déj

Vous autres, hommes, cela est si peu pour vous! Sacrifier le repos de ses jours, la sainte chasteté de l'honneur! quelquefois ses enfants même; ne vivre que pour un seul être au monde; se donner, enfin, se donner, puisque cela s'appelle ainsi! Mais cela n'en vaut pas la peine:

Quand vous serez revenue, un soir, il nous faudra recomposer notre petit auditoire d'hommes, et nous lirons Coriolan. Rien ne me fait plus vivre que de voir l'enthousiasme des gens non blasés, compréhensifs, doués de sensibilité et d'imagination. Je m'amusais, dernièrement,

Et j'ai vu des palais, des fêtes, des festins, Des femmes qui mêlaient leurs blancheurs aux satins, Des murs hautains ayant des jaspes pour écorces, Des serpents d'or roulés dans des colonnes torses, Avec de vastes dais pendant aux grands plafonds; Et j'entendais chanter: Jouissons! triomphons! Et les lyres, les luths, les clairons dont le cuivre A l'air de se dissoudre en fanfare et de vivre, Et l'orgue, devant qui l'ombre écoute et se tait, Tout un orchestre énorme et monstrueux chantait; Et ce triomphe était rempli d'hommes superbes Qui riaient et portaient toute la terre en gerbes, Et dont les fronts dorés, brillants, audacieux, Fiers, semblaient s'achever en astres dans les cieux. Et, pendant qu'autour d'eux des voix criaient: Victoire A jamais!

Non! tu ne l'emporteras pas!... À moi! il me prend mon enfant!... Il la met dans son cercueil; aidez-moi donc... Vous voyez bien qu'ils veulent se faire enterrer vivants... Aidez-moi donc... Non! non, ne fermez pas le cercueil... Ah! le misérable! c'est lui, c'est lui, qui le cloue dans la bière... Empêchez-le... Il me bat... Il va le tuer... pour enlever Jeanne... Fernand! grâce! grâce!... Laisse-la vivre, elle!... Prends-moi...; mais laisse-la vivre... Laissez-moi, laissez-moi, misérable!... Pierre, pardon! pardon! grâce!

Je le voyais parfois Dès l'aube sur un banc s'asseoir tenant un livre; Je sentais, j'entendais l'ombre autour de lui vivre Et chanter dans les bois! Il lisait, puis dormait au baiser de l'aurore; Et je le regardais dormir, plus calme encore Que ce paisible lieu, Avec son front serein d'où sortait une flamme, Son livre ouvert devant le soleil, et son âme Ouverte devant Dieu!

Basilida se figura soudain son père, sa médiocre fortune, ces fragiles jours qu'il achevait de vivre