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Mis à jour: 1 octobre 2025


Alors, il se souvint que le président du tribunal de commerce vivait séparé de sa femme,

En s'éveillant le lendemain, elle eut peur. Le temps était calme et beau; mais, dans le silence des bois, la pauvre enfant sentait mieux la solitude. Tout vivait, tout s'animait autour d'elle; qui songeait

Elle ne vivait que pour son art. La plus grande partie de ses journées était prise par son «travail», car ses exercices exigeaient un entraînement continuel. Et le sentiment de son excellence acrobatique lui donnait un immense orgueil. Sa destinée lui semblait la plus belle de toutes. Elle se sentait elle-même un poème vivant.

La duchesse avait moins que jamais oublié sa vengeance; elle était si heureuse avant l'incident de la mort de Giletti! et maintenant, quel était son sort! elle vivait dans l'attente d'un événement affreux dont elle se serait bien gardée de dire un mot

Marguerite avait seize ans: belle, comme doivent l'être les anges, elle n'avait point encore réveillé son âme, qui dormait enveloppée dans les douces illusions de l'enfance. Elle vivait auprès de son père, heureuse, souriante, folle, et ne cherchait point

Mais d'après ses manières de voir calmes et au-dessus des préjugés, un pareil sentiment ne pouvait rien avoir d'alarmant pour elle. L'affection de ce digne homme pour sa pauvre nièce lui était au contraire très-précieuse, parce qu'elle savait que dans le monde vivait cette intéressante enfant, on ne rencontre jamais que de l'indifférence ou de la dissimulation.

Et la vie de Maurice vagabonda, oisive, dans une fièvre grandissante. Il ne souffrait plus de la faim, il avait dévoré le premier pain blanc avec délices. Paris, alcoolisé, n'avait manqué ni l'eau-de-vie ni le vin, vivait grassement

Chez les Avars vivait

Ma femme vivait; et, avec un redoublement d'ardeur, je me mis en devoir de la ressusciter. Je frictionnai et je bassinai les tempes et les mains, et j'usai de tous les procédés que l'expérience et de nombreuses lectures médicales pouvaient me suggérer. Mais ce fut en vain.

Cet Allemand était un personnage fort curieux et fort bizarre, réunissant le double enthousiasme et la double manie des systèmes de Lavater et de Gall. Il vivait au milieu d'une collection innombrable de profils, et dans une immense compagnie de crânes et de têtes de mort. La plupart de ces agréables fantaisies avaient été l'objet d'un triste travail. Des ciselures d'or et d'argent y paraient la destruction, et, en voulant l'orner, la rendaient plus hideuse. La foule se pressait autour de l'excellence allemande, admirant l'exactitude et la richesse de ses explications physiologiques, en extase devant tous les bizarres et absurdes enjolivemens qu'il s'était efforcé de prodiguer

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