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Mis à jour: 11 juin 2025
Et vous avez raison, répondit-elle. Les environs sont aussi tranquilles que possible, et je n'ai jamais entendu parler de voleurs depuis que le château est bâti; et pourtant on sait qu'il y a ici pour des sommes énormes de vaisselle d'argent; et pour une aussi grande maison vous voyez qu'il y a bien peu de domestiques, parce que notre maître y demeure rarement et qu'il n'est point marié. Mais je crois qu'il vaut toujours mieux être prudent; une porte est bien vite fermée, et il est bon d'avoir un verrou entre soi et un crime possible. Beaucoup de gens pensent qu'il faut se fier entièrement
C'est trop juste, dit le meunier qui, alors, sans avoir l'air de le faire exprès, referma la porte d'entrée. Vous pouvez même pousser le verrou, mon brave, fit Pardaillan, narquois. Surtout, quand vous saurez que les sacs que je veux vous acheter sont justement les trente qui vous ont été apportés tout
«Ma foi, sauve qui peut,» s'écria Mme de Sancy.» Et la comtesse s'envola par une porte dérobée. Elle reparut presque aussitôt. «Je suis bonne,» reprit-elle. Et elle tira le verrou, pour que le comte pût entrer, jugeant bien que Valentine n'oserait pas lui ouvrir la porte. Après quoi, elle redisparut comme une ombre. Valentine n'eut pas le temps de faire un monologue. Le comte était entré.
Il retomba sur la paillasse... Moi, je vidai d'un trait ce qui restait de vin dans la cruche, et comme le feu s'était ranimé, que la chaleur se répandait de nouveau dans la chambre, et que le verrou me paraissait solide, je repris courage. Pourtant, la montre était l
Elle rentra, referma l'huis avec violence et, de colère, poussa même, dans l'évidemment de mur qui servait de gâche, le lourd verrou d'acier. Si tu t'amènes maintenant, tu poseras un peu, grande charogne! ragea-t-elle. Ça t'apprendra
Mais la jeune femme ne pouvait se livrer ainsi. Retirez-vous! dit-elle aux domestiques. Ils se retirèrent, et après qu'elle eût poussé le verrou de la porte: Parlons de Martial... commença-t-elle. À ce nom, M. de Courtomieu bondit et ses poings se crispèrent. Ah! le misérable!... s'écria-t-il. Martial est mon mari, mon père. Quoi!... après ce qu'il a fait, vous osez le défendre!...
Il se retourna, l'oreille tendue. Nul bruit ne se faisait entendre au dehors qui attestât l'arrivée de quelqu'un. Il était bien seul. Il se peut que Cardeuc ne vienne pas, dit-il. Et, rassuré après avoir encore écouté, le soudard libertin se glissa dans la chambre dont, derrière lui, il referma la porte et poussa le verrou.
Il ne formula pas sa menace, il était arrivé; il se hâta d'aller enfouir dans la cave de la maison le coffre qui lui avait été si vivement recommandé. Pendant ce temps, Pierre, seul, avait fermé le verrou de sa chambre pour n'être pas surpris debout; il s'était assis aussitôt devant sa table et avait écrit deux lettres courtes.
Les yeux toujours fermés pour ne plus voir les jolies chambres, les livres ouverts, les lits voisins, le chat, la jeune fille qui pleurait, et les voyant en elle-même plus que jamais, elle se retourna, mais elle ne put rouvrir la porte; elle constata tout de suite qu'une main malveillante avait repoussé le verrou.
MATTEO. Il attend les ordres de monsieur le marquis. LE MARQUIS. Qu'il entre. Il est né pour arrêter, comme le prince pour avoir pour; ce n'est pas un homme, c'est un verrou! Scène II. LE MARQUIS. Eh bien! que m'apportes-tu de la part du prince? RANNUCCIO. Les nouvelles les plus graves, les ordres les plus sévères. LE MARQUIS. Quelles nouvelles?
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