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Il envoie, au milieu de l'action, un parlementaire au général Vedel, pour le prévenir de ce qui s'était passé entré lui et le général Dupont, avec lequel il était en armistice. Le général Vedel ne veut entendre

Le lendemain, pourtant, le temps ne nous parut pas assez favorable. Quelques-uns voulurent tenter de passer. Vedel, par exemple, Charles, Mlle X... Ils s'embarquèrent et nous étions fort inquiets, quand,

La division Vedel partit, et mit environ sept ou huit jours

M. de Reding sentait sa position mauvaise, parce qu'il n'obtenait point de succès sur des troupes qu'il croyait prendre aussitôt qu'il les aurait attaquées, mais surtout parce que, pendant l'action, on vint le prévenir que les troupes qui avaient pris le chemin de la Caroline (c'étaient Dufour et Vedel) s'étaient mises en marche pour revenir

Ainsi finit cette honteuse affaire de Baylen. Il faudrait être bien impudent calomniateur pour trouver tyrannique la conduite de l'empereur envers des généraux qui, hormis Vedel, avaient manqué aussi essentiellement. On pourrait,

Le général Vedel arrive

Dès que Vedel se vit en communication avec son général en chef, qui lui envoyait des ordres par un officier de son état-major, il s'y conforma: c'était au général en chef

Dupont, Vedel et quelques généraux obtinrent seuls la permission de retourner en France. Les officiers et les soldats furent d'abord entassés sur des pontons stationnés sur la rade de Cadix; mais une fièvre épidémique fit de tels ravages parmi eux, que les autorités espagnoles, craignant que Cadix n'en fût infesté, reléguèrent les survivants dans l'île déserte de Cabrera, qui ne possède ni eau ni maisons! L

Cependant M. de Castaños ne manqua pas de considérer que sa division Reding était, pour le moins, aussi compromise que l'était la division Barbou, et qu'en dernière analyse le combat qui avait eu lieu entre ces deux divisions, n'avait eu aucun résultat; il n'y avait point eu de perte d'artillerie, ni de bataillons pris , ni enfin aucun de ces événemens qui marquent le succès ou l'infériorité. Il considérait, en outre, que le corps de Dupont, réuni, lui serait supérieur par sa nombreuse cavalerie et son artillerie, et sa réunion était infaillible au bout d'une demi-heure d'efforts de la part du général Vedel, auquel il ne pouvait pas s'opposer, et qui était impatient de combattre. Il n'y avait pas cinq cents toises entre les postes de Vedel et ceux de Barbou. Il était bien, il est vrai, de sa personne

Si le général Legendre avait voulu, il aurait sauvé les deux divisions de Dufour et de Vedel; il n'avait qu'